Dr Kayser, fonctions sexuelles masculines #61

Dr Kayser – Traitements médicaux récents et fonctions sexuelles masculines #61
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Les podcasts sont des opportunités pour se poser des questions et des réflexions privées et sociales.
Dans ce podcast courageux et sans tabou, nous ouvrons un esprit critique sur un sujet de santé pour permettre aux gens de mieux comprendre et d’agir en âme et conscience, avec discernement et responsabilité pour eux-même.
Notre propos n’est ni de parler de victime, ni de coupable. Chacun doit se prendre en main, en tant qu’adulte libre et souverain. De plus, quoi qu’il arrive, on ne peut rien faire pour autrui, mais juste pour soi.
En tant que professionnels, nous observons que des éléments importants passent sous le radar ou sont invisibles lorsqu’on divise les gens. Si on morcelle les champs d’observation et les données, on passe à côté de signaux potentiellement alarmants, voire graves.
Les personnes non impactées par les traitements médicaux récents pourraient minimiser ou refuser de voir ce qui se passe sous leurs yeux, alors que les personnes directement impactées crient au scandale. Mais de quoi parlons-nous vraiment? Santé individuelle et collective? Ouvrons les yeux et le cœur sur la santé sexuelle actuelle.
Comprendre la santé globale requiert que les professionnels qui possèdent chacun une visibilité sur une partie limitée du puzzle, un angle de vue réduit, se rassemblent pour partager leurs observations avec esprit critique.
Que constate-t-on actuellement dans la santé sexuelle ?
Les statistiques de problématiques en lien avec la santé sexuelle explosent depuis quelques années. C’est inquiétant.
En ce moment, l’honnêteté de certaines institutions est peu scrupuleuse. (Scrupuleux signifie être exigeant sur le plan moral. Consciencieux. Qui respecte strictement les règles, les prescriptions… Les principes de précaution). Ce n’est pas compréhensible de l’œil du citoyen libre de tout conflit d’intérêt. Il conviendrait de demander aux personnes les plus critiques et indépendantes d’analyser les données de manière méthodique. Sans conflit d’intérêt (c’est-à-dire totalement indépendant de ceux qui ont contribué à la situation actuelle, quel que soit leur rôle).
Il conviendrait de prendre plus de mesures/données (nouvelles aussi) et d’augmenter l’analyse de celles-ci. Il faut élargir le spectre de vigilance, et surtout ne pas le réduire ou le scinder en morceaux plus petits. Les statistiques peuvent être manipulées et empêcher de ce fait de voir ce qui se passe réellement. La société devrait exiger la plus grande vigilance.
D’autre part, saviez-vous que tout le monde peut informer la pharmacovigilance ?
Ne vous endormez pas par une médecine de protocoles autoritaires qui saurait mieux que vous. Faire remonter les informations est un acte citoyen qui ne dépend que de vous.
Cela permet d’être vigilant pour soi ainsi que pour les autres.
Ce que l’on aborde aujourd’hui dans ce podcast est un sujet d’autant plus important à discuter que la plupart des médecins n’osent pas aborder le sujet déjà en temps normal dans leurs pratiques (sexualité, sexologie). Et partant de ce constat, comment pourrions-nous obtenir des données officielles fiables et complètes sur l’impact des thérapies modernes sur la sexualité des gens si personne ne se/vous pose la question? A chacun.e sa route. L’important étant de prendre soin des un.e.s des autres en âme et conscience.
Nous avons pris notre responsabilité. Nous vous souhaitons une bonne écoute.
Citations :
- Saviez-vous que dans son dernier interview donnée à la BBC il y a 75 ans le 25-07-1949, George Orwell, auteur du livre a dit des choses étonnantes.
(Eric Blair, de son nom de plume George Orwell, a publié le livre 1984. Avant de mourir, le prophète des dérives totalitaires légua un ultime avertissement:
Version originale :
“I think that allowing for the book being, after all, a parody, something like 1984 could actually happen. This is the direction the world is going in at the present time.
In our world, there will be no emotions except fear. rage, triumph and self-abasement. The sex instinct will be eradicated. We shall abolish the orgasm. There will be no loyalty except loyalty to the party. But always there will be the intoxication of power. Always, at every moment, there will be the thrill of victory. the sensation of trampling on an enemy who is helpless. If you want a picture of the future, imagine a boot stamping on a human face forever. The moral to be drawn from this dangerous nightmare situation is a simple one. Don’t let it happen. It depends on you.”
Version traduite :
« Je pense que si l’on admet que le livre est, après tout, une parodie, quelque chose comme 1984 pourrait réellement se produire. C’est la direction que prend le monde à l’heure actuelle.
Dans notre monde, il n’y aura plus d’émotions, sauf la peur, la rage, le triomphe et l’humiliation. L’instinct sexuel sera éradiqué. Nous abolirons l’orgasme. Il n’y aura plus de loyauté, sauf celle envers le parti. Mais il y aura toujours l’ivresse du pouvoir. Il y aura toujours, à chaque instant, le frisson de la victoire, la sensation de piétiner un ennemi impuissant. Si vous voulez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain pour toujours. La morale à tirer de cette situation cauchemardesque et dangereuse est simple. Ne laissez pas cela se produire. Cela dépend de vous. »
Orwell prononce deux phrases d’éveil des conscience très étonnantes à écouter en 2025:
“Ne le laissez pas se produire. Ça dépend de vous !!!”
“L’instinct sexuel sera éradiqué. Il aboliront l’orgasme!”
- Dr. Gustav Heinemann, président de la République fédérale d’Allemagne 1969-74, a dit:
« Un peuple qui est gouverné par un pouvoir doit connaître le pouvoir qui le gouverne. Il, le peuple, doit diriger et contrôler ce pouvoir. Il doit dénoncer le pouvoir lorsqu’il commet des crimes. Dans le cas contraire, le peuple devient complice.
Le fondement de la démocratie est la souveraineté populaire et non le pouvoir d’un État autoritaire. Ce n’est pas le citoyen qui est en relation d’obéissance avec le gouvernement, mais le gouvernement qui est responsable de ses actes devant le citoyen dans le cadre des lois. Le citoyen a le droit et le devoir de rappeler le gouvernement à l’ordre s’il estime qu’il ne respecte pas les droits démocratiques ».
- Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer Global R&D :
https://x.com/wideawake_media/status/1893984415623057835?t=OG8cpLv-Aim50fevtQSDqQ
Wide Awake Media
Phrase originale:
“[The mRNA-based Covid “vaccines”] were designed—intentionally—to harm, maim and kill, and to reduce human fertility.”
Traduction:
« Les « vaccins » Covid à base d’ARNm ont été conçus intentionnellement pour nuire, mutiler et tuer, et pour réduire la fertilité humaine.
Transcription complète de cette vidéo de 1min27:
Speaker 0 | 00:00.212
If you’ve followed me, you’ll know I’ve spent over 30 years in research in the pharmaceutical industry and biotech. I’ve trained in toxicology and I’ve worked with colleagues designing experimental molecules that we hope will become medicines. That gives me the credentials to stand, as it were, in the shoes of the designers of these vaccines. and answer the question what were you thinking when you made these design decisions now you can go and watch any of my interviews or cut to the chase and you may not believe it but i am sure not slightly but sure these materials were designed intentionally to harm many and kill and to reduce human fertility. Well, that is my verdict. And I can stand it up. I will be in court, Supreme Court in Costa Rica very shortly, and I’ll be using exactly this argument that I will give with detail. That’s the first point. So don’t take these injectables. Don’t take the next lot either. They will also be designed to harm you. All mRNA-based materials are dangerous. Thank you.
Traduction en français:
Si vous m’avez suivi, vous savez que j’ai passé plus de 30 ans à faire de la recherche dans l’industrie pharmaceutique et la biotechnologie. J’ai suivi une formation en toxicologie et j’ai travaillé avec des collègues pour concevoir des molécules expérimentales qui, nous l’espérons, deviendront des médicaments. Cela me donne les qualifications nécessaires pour me mettre, pour ainsi dire, à la place des concepteurs de ces vaccins et répondre à la question suivante : à quoi pensiez-vous lorsque vous avez pris ces décisions de conception ? Vous pouvez regarder n’importe laquelle de mes interviews ou aller droit au but et vous ne le croirez peut-être pas, mais je suis sûre, pas légèrement, mais sûre que ces matériaux ont été conçus intentionnellement pour nuire à de nombreuses personnes, pour les tuer et pour réduire la fertilité humaine. Tel est mon verdict. Et je peux le défendre. Je serai très bientôt devant la Cour suprême du Costa Rica et j’utiliserai exactement les mêmes arguments que ceux que j’exposerai en détail. C’est le premier point. Ne prenez donc pas ces produits injectables. Ne prenez pas non plus le lot suivant. Ils seront également conçus pour vous nuire. Tous les matériaux à base d’ARNm sont dangereux. Je vous remercie de votre attention.
Saviez-vous :
Les cellules internes des vaisseaux sanguins, appelées les cellules endothéliales, ont un rôle crucial dans les fonctions sexuelles, dont l’érection masculine et féminine. Prendre soin de son système cardio-vasculaire est fondamental.
Le corps a des capacités exceptionnelles pour se régénérer si on agit adéquatement pour l’aider.
Liens bonus :
Un chanson explicite de circonstance choisie par le Dr Laurence Kayser: “La Vérité”, écrite, composée et interprétée par Guy Béart en 1967.
https://open.spotify.com/track/1qGzkp0I8GlM86T33SjxuM?si=03rIFgIvSCym_B1EaWwEVA
Lien pharmacovigilance belgique:
Portail officiel pour signaler des effets indésirables est www.fichejaune.be ou directement via le site de l’AFMPS : Pharmacovigilance – AFMPS
- Rendez-vous sur www.fichejaune.be pour accéder au formulaire de notification en ligne.
- Vous pouvez également télécharger et remplir un formulaire papier disponible sur le site de l’AFMPS.
Informations nécessaires :
- Données sur le patient (anonymisées).
- Description détaillée de l’effet indésirable (symptômes, gravité, etc.).
- Informations sur le médicament suspecté (nom, dosage, durée d’utilisation).
- Informations sur d’autres médicaments éventuellement pris simultanément.
Soumission :
- Soumettez le formulaire en ligne ou envoyez-le par courrier électronique ou postal à l’adresse indiquée par l’AFMPS.
Suivi :
- Une fois la notification reçue, le CBPH évalue les données et peut collaborer avec des organismes européens comme EudraVigilance pour une analyse approfondie
Cette procédure est ouverte à TOUS LES CITOYENS, ainsi qu’évidemment aux professionnels de santé. Elle vise à garantir la sécurité des médicaments en Belgique. C’est de la responsabilité individuelle des citoyens d’agir une fois informés.
Suite liens bonus
- Jean-Marc Sabatier, référence scientifique des plus éminentes en France, chargé de recherche au CNRS.
Interview de Richard Boutry sur “la minute de Ricardo” en février 2025: https://www.youtube.com/live/g8OL1qcK4ZA
- Prudence pour nous et nos enfants:
- Tant de vidéos censurées ! pourquoi, franchement? Est-ce cela la liberté d’expression? Evidemment, nous sommes dans une oligarchie et pas une démocratie constitutionnelle.
Ces gens-là ne nous veulent pas du bien. Sinon, le dialogue serait ouvert, permis, agréable. Ici, il y a trop à cacher. Mais on n’est pas d’accord avec cet omerta. Exemples:
https://www.youtube.com/watch?v=YrsAXNr9cVo
https://youtu.be/YrsAXNr9cVo?si=mCXb80Bq8K69paT7&t=2809
- Livre : The Pfizer Papers, Pfizer’s Crimes Against Humanity
https://www.amazon.com.be/-/en/Warroom-Dailyclout-Pfizer-Documents-Analysts/dp/1648210376
The WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Analysts, Naomi Wolf, Amy Kelly, Stephen K Bannon. 408 Pages, October 15, 2024, ISBN: 9781648210389, Imprint: War Room Books
Dans ce livre, Naomi Wolf affirme que les documents des essais cliniques de Pfizer révèlent des effets négatifs importants sur la sexualité humaine, en particulier chez les femmes et les bébés. Elle décrit ces impacts comme un “attentat intentionnel” contre la sexualité humaine, mettant en lumière des dommages au système reproductif et des événements indésirables liés aux vaccins, affectant les femmes dans un ratio de 3:1 par rapport aux hommes
- En Belgique, Docteur Résimont a dit récemment à propos des effets secondaires:
Tout ça pour un truc qui ne protège ni de la maladie, ni de sa transmission, ni des formes graves. Depuis quatre ans, j’ai été insulté, traité de dangereux, de complotiste, j’ai perdu des amis pour avoir dit que, pour n’importe quel médoc, il y a des effets secondaires, pour avoir clamé haut et fort qu’un pseudo vaccin qui tue plus que la maladie n’a aucune raison d’être utilisé, ni rendu obligatoire.
J’ai perdu mon boulot de chirurgien pour cela.
- Livre de Pierre Chaillot:
Victimes des vaccins covid 19: Ce que révèlent les chiffres officiels Broché – Grand livre, 29 janvier 2025
- Étienne Chouard: 10 histoires choquantes que les médias ont enterrées cette semaine
#10 – Une étude mondiale révèle un lien entre les injections d’ARNm et les lésions rénales graves
« Les chiffres sont stupéfiants. »
L’étude, dirigée par le Dr Hyeon Seok Hwang, a analysé les événements indésirables de VigiBase de l’OMS, et ce qu’ils ont découvert est stupéfiant : les pires signaux de sécurité rénale liés aux vaccins jamais enregistrés.
Alors que tout le monde parle de la myocardite post-vaccinale, personne ne mentionne les ravages que les vaccins contre la COVID-19 infligent aux reins.
https://x.com/Etienne_Chouard/status/1891564873705980304?t=_dYX5waEaPd2k1WghL2y5A&s=08
- Alexandra Henrion-Caude
Effets indésirables… effets sur la fertilité…absence de consentement…il aura fallu 5 ans à l’Etat du Montana pour rédiger cet INTERDIT. Et encore combien de temps pour le reste du monde?
https://x.com/CaudeHenrion/status/1890857126576484836?t=etJjqQuVfGWabSQM8c_S1Q&s=08
- Une lettre choc à 20 gouvernements européens:
Un groupe international de 700 professionnels et politiciens a envoyé une lettre choc à 20 gouvernements européens, exigeant l’arrêt immédiat des vaccins à ARN messager contre la COVID-19.
Cette coalition, connue sous le nom de NORTH Group, inclut des médecins, avocats, scientifiques et élus de haut niveau, dénonçant les risques graves pour la santé publique.
Ce mouvement représente désormais 20 pays unis pour la transparence et la sécurité sanitaire.
?Les points de rupture :
- Effets secondaires catastrophiques : Les vaccins mRNA présentent des taux d’effets indésirables graves sans précédent, incluant des décès et des risques de dommages à l’ADN humain.
- Données dissimulées : Des analyses révèlent des résidus d’ADN étrangers dans les vaccins de Pfizer et Moderna, un danger jamais testé ou communiqué au public.
- Mensonge sur l’efficacité : Les vaccins n’ont jamais été testés pour empêcher la transmission du virus, contredisant les messages de santé publique.
?Pourquoi ce silence des autorités ?
Alors que la NORTH Group tire la sonnette d’alarme, les gouvernements restent inertes face à ces révélations.
Sources :
https://northgroup.info/belgium/pdf/goup_letter_belgium.pdf
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Séquençage de l’épisode :
- [00:00:19] Introduction et contexte
- [00:00:57] Qui est Laurence, en quelques mots
- [00:01:31] Les plannings familiaux
- [00:03:16] Les intentions de la Dr Laurence Kayser
- [00:04:38] Les intentions d’Olivier Mageren
- [00:06:42] En parlant de tabous
- [00:11:14] Les observations de la Dr Laurence Kayser
- [00:13:30] Comment fonctionne l’érection
- [00:18:57] Excuse facile : « c’est psychologique »
- [00:22:24] La santé sexuelle masculine impactée
- [00:26:43] Les statistiques et la fragmentation de l’information
- [00:31:40] Constatations d’Olivier Mageren en tant que sexologue
- [00:38:10] Une confiscation de la responsabilité individuelle
- [00:42:14] Une véritable guerre de l’information
- [00:48:44] Des solutions nouvelles existent (au prochain épisode)
- [00:49:08] Être responsable individuellement de sa santé
- [00:49:38] Un mot de la fin pour la Dr Laurence Kayser
- [00:50:05] Clôture du podcast
Transcription du podcast avec la Dr Kayser :
Si tu apprécies notre démarche de transcrire les podcasts : parle de ce podcast à ton entourage. Nous pouvons allouer des ressources aux transcription grâce aux donations reçues vers notre association, le lien pour faire un don : https://donate.kbs-frb.be/actions/FF-LoveHealthCenter
Jingle Intro: [00:00:00] « Entr’Nous » (voix féminine Katalin) ; « Entr’Nous » (voix masculine Olivier), le podcast (Katalin) pour parler (voix masculine Michel) de sexualité (Olivier) par vous (Michel), avec vous (Olivier), pour vous (Katalin)»
Olivier Mageren: [00:00:19] Bonjour, Bienvenue dans le 61? épisode du podcast “Entr’Nous”, le podcast du “Love Health Center”, un lieu basé à Bruxelles dont la vocation est d’aider tout le monde qui nous contacte tant dans ses relations, son bien-être et sa sexualité, grâce entre autres au podcast, mais pas seulement. On est en train d’éditer un livre, un jeu de cartes, on va lancer une campagne de crowdfunding, on fête bientôt nos six ans, on est très contents d’avoir passé les étapes, on va dire, infantiles. Aujourd’hui, on se retrouve pour une thématique à mes yeux très, très, importante, c’est de parler des impacts des thérapeutiques médicales récentes sur la sexualité masculine. Et j’ai la chance d’avoir pu inviter la Dr Laurence Kayser. Bonjour Laurence.
Dr Laurence Kayser: [00:00:55] Bonjour Olivier, bonjour à toute la communauté.
Olivier Mageren: [00:00:57] Laurence, est-ce que tu pourrais te présenter en quelques mots?
Dr Laurence Kayser: [00:01:00] Moi, je suis gynécologue. On pourrait s’étonner d’avoir un gynécologue pour parler de la santé sexuelle masculine, mais je crois que ça peut être assez intéressant d’avoir le point de vue des femmes. Et, évidemment le point de vue du médecin, puisque je ne suis pas seulement gynécologue, je suis également obstétricien, donc je fais naître des petits bébés mais je suis chirurgien. Et une petite casquette supplémentaire, je suis écrivain, donc j’aime aussi beaucoup déceler la subtilité des informations dans les mots qu’on me transmet, voilà, je suis très, très, heureuse aujourd’hui de partager ce moment avec vous.
Olivier Mageren: [00:01:31] Merci Laurence, ça me permet de faire une petite parenthèse sur justement le fait que on va parler de sexualité masculine, mais avant tout tu es médecin. Tu es spécialisé dans la santé sexuelle aussi en tant que gynécologue, et qu’en planning familial, moi j’ai travaillé dans des plannings familiaux, mais la plupart des médecins sont femmes et sont gynécologues mais elles s’adressent tant aux hommes qu’aux femmes. Parce qu’il n’y a pas vraiment beaucoup de urologues, ni de andrologue, souvent elles ont la double casquette en planning familial, peut-être pas à l’hôpital, mais souvent en planning familial on travaille de manière non genrée je dirais.
Dr Laurence Kayser: [00:01:59] J’ai travaillé aussi en planning familial. Alors souvent, ce sont des femmes généralistes en fait, qui ont une formation en gynécologie, je vais dire, de terrain, mais effectivement, il y a très, très peu d’hommes. J’ai travaillé très longtemps au Planning familial: six, sept ans, je pense, de mémoire, dans plusieurs plannings, et c’est une expérience qui est à la fois très enrichissante et douloureuse puisque c’est quand même des choses, on va dans des problématiques qui touchent au cœur de l’intime. Parce qu’on a des consultations évidemment, par rapport aux demandes d’interruption de grossesse, mais aussi aux maladies sexuellement transmissibles. Et il y a aussi des problèmes liés à la sexualité qui ne sont pas toujours évidents à prendre en charge, justement en planning, parce que ce sont des consultations qui sont brèves et qui sont ponctuelles, c’est rare qu’on ait un vrai suivi des couples et des patients. C’est une autre façon d’aborder les choses, mais c’est aussi quelque chose de très intéressant. J’ai même travaillé en psychiatrie, pendant un an et demi ici, puisque nous sommes à Bruxelles donc, j’ai travaillé à la place Meyser, enfin, tout près de la place Meyser, à la clinique Titeca. Qui est une clinique de psychiatrie lourde, des gens qui sont là pour parfois des meurtres, mais qui sont reconnus comme étant non responsables de leurs actes. Et il y avait une unité mère-bébé où, à mon grand regret, on voyait très, très, peu les papas. Donc c’est quelque chose qui est aussi intéressant parce que ça complète un petit peu ma panoplie de médecins qui ne se cantonne pas à la gynécologie je pense.
Olivier Mageren: [00:03:16] Merci. On commence toujours par l’intention tout simplement. Quelle est l’intention en ayant accepté l’invitation, et d’être venu sur Bruxelles?
Dr Laurence Kayser: [00:03:23] L’intention? La première intention, c’est l’amitié. Parce que j’ai la chance de te connaître personnellement Olivier, c’est vrai qu’on a déjà eu des échanges assez passionnants, et je me suis dit mais pourquoi pas faire profiter à d’autres personnes de ces discussions? La première intention, c’est d’abord avec le cœur. Ensuite, je suis soignante dans l’âme, il n’y a rien à faire, c’est vraiment dans mon ADN, je me préoccupe beaucoup de la santé individuelle mais aussi collective, si tant est qu’elle existe. Parce que je pense quand même qu’il est capital de se rendre compte que la santé publique n’existe pas si on ne soigne pas les gens individuellement, mais à partir du moment où on a pris en charge chaque personne au mieux de nos possibilités, alors on peut espérer avoir une santé de société. Et, au-delà de ça, ben il y a la santé de l’espèce humaine en fait, qui me préoccupe beaucoup. C’est aussi mon intention, c’est d’attirer l’attention sur des choses qui ne vont pas aujourd’hui dans notre monde très consumériste. Et enfin, j’ai la chance d’être en pleine découverte de certaines techniques, notamment le plasma riche en plaquettes, je vous l’avoue tout à fait humblement, je me lance dans cette activité autant pour les hommes que pour les femmes, ça doit être connu. Alors pas forcément pour que les gens viennent chez moi, mais pour que les gens sachent qu’il y a des solutions à certains problèmes qui vont dans l’auto guérison, et ça, ça me passionne.
Olivier Mageren: [00:04:38] Merci, Merci. Et pour ma part, mon intention: j’étais venu te voir au mois de mai 2024 à La Louvière, pour une conférence sur les problèmes de fertilité, entre-autres. Une longue conférence passionnante, je pense qu’elle avait duré 2h15 de mémoire où tu n’avez pas arrêté de parler, on apprenait plein de choses, j’ai trouvé ça passionnant, je me suis dit “OK, ça serait bien, avec le recul aussi, de proposer, orienté sur la sexualité masculine”, on parlera de la sexualité féminine dans le prochain podcast. Et ce podcast, mon intention, c’est aussi d’aller au-delà des tabous, déjà souvent la sexualité c’est tabou, mais en plus, pour les hommes c’est encore plus délicat. On voit bien aussi en planning familial, on accueille beaucoup plus de femmes comme tu le dis, que d’hommes. Alors que quand on parle d’IST (Infections Sexuellement Transmissibles), en soi, c’est moitié-moitié, tout le monde est concerné, pas plus l’un que l’autre. Et si on parle de contraception, les hommes sont fertiles 24h sur 24, sept jours sur sept, à partir de la puberté on va dire. Et en fait, ce sont les grands absents de faire aucun check-up médical, jamais, donc c’est un peu dommage. Alors qu’en fait j’ai commencé à observer, moi, dans mes consultations de sexologie, des retours liés à la santé sexuelle masculine qui était interpellant. Je dis “Tiens, il y a des choses qui changent. Il y a cinq six ans, je n’avais pas ça. Qu’est-ce qui est en train de se passer?”. Et donc mon intention, c’est d’ouvrir simplement un espace de parole pour partager parce que je pense que si on est tous séparés et qu’on n’en parle pas parce que c’est un tabou, c’est délicat, et surtout les hommes ont plus de mal à en parler. À la rigueur, les femmes qui ont peut-être plus la routine, pour certaines, d’aller voir un médecin ou un gynécologue ou une gynécologue vont peut-être en parler plus vite, mais je pense que les hommes sont plus timides sur cette question sexuelle. Et que si les individus restent dans leur coin, que les sexologues ne communiquent pas et ne voient pas en fait la “big picture” comme on dit, le grand tableau finalement, qu’est-ce qui se passe au niveau de l’échelle de la société et de la santé publique? Comme tu dis, ça démarre de la santé individuelle, et si on se connecte pas les uns aux autres en tant que professionnels, si toi tu es médecin, donc ça nous permet d’avoir un regard direct et pertinent sur la santé sexuelle et ça permet de comprendre davantage de choses qui passent un peu sous le radar si on minimise alors qu’il y a vraiment des choses qui sont émergentes. Et je me demandais un peu Qu’est-ce que tu observes peut-être depuis ces derniers temps dans ta pratique? Alors au mois de mai, tu disais effectivement que les statistiques explosent en termes de problèmes de santé, mais même depuis bientôt un an qu’est-ce que tu vois comme évolution?
Dr Laurence Kayser: [00:06:42] Alors je vais me permettre de faire un arrêt sur image par rapport au tabou, que représente la sexualité, et il faut savoir que c’est un tabou pour les deux sexes. Mais effectivement, les femmes ayant, par obligation, plus l’habitude d’aller chez notamment le gynécologue parce que à partir du moment où on a ses règles, on a des questions qui viennent concernant déjà sa santé, sa fertilité, la contraception, les premiers rapports, mais aussi plus tard projet bébé et bien, bien, plus tard encore ménopause, etc. Si le médecin gynécologue arrive à établir un rapport de confiance avec sa patiente, ce qui normalement devrait être le cas chaque fois, et bien on parvient à ce qu’elle dépose aussi les douleurs, je ne parle pas de douleurs physiques mais de douleurs psychiques d’abord, au cabinet et qu’on puisse en discuter et travailler sur les causes. Et dans un monde où les hommes, ils ont peu l’habitude de prendre soin d’eux, il faut bien le reconnaître, où on leur demande d’être à la fois performants, compétitifs, rentables, efficaces, masculins, mais aussi déconstruits, doux, féminins, et je ne critique pas du tout le fait de dénoncer les dérives machistes et les abus qui sont commis sur les femmes. Mais je pense que les jeunes hommes, aujourd’hui, sont quand même aussi victimes de cette mouvance hashtag metoo qui leur fait peur, qui les empêche peut-être d’aller vers l’autre, parce qu’on oublie que face à une minorité d’individus masculins qui se permettent des choses affreuses, et dans un monde qui est quand même relativement patriarcal il faut bien l’admettre, il y a tout un tas d’hommes vraiment très bien, et très respectueux des femmes, mais qui ne vont pas oser étaler finalement leur masculinité et leur sexualité. Et certainement pas quand elle pose problème parce qu’ils vont se retrouver encore plus déstabilisés. Et c’est parfois par la femme qui vient me parler, à moi gynécologue, de ces problèmes sexuels, que je me rends compte qu’en fait le problème n’est pas un problème féminin, mais un problème de couple. Et parfois même uniquement masculin. C’est très important d’avoir des podcasts comme celui d’aujourd’hui parce qu’il faut dédramatiser les choses et il faut que tout un chacun puisse trouver un interlocuteur pour en parler. Ceci dit, ce que je constate, depuis, on va dire depuis fin 2021, ça correspond tout à fait à ce qui a été notifié dans la pharmacovigilance américaine, de l’armée en particulier. Pourquoi je la cite? C’est parce que c’est un recensement actif de toutes les pathologies dont souffrent les militaires. Donc un médecin militaire américain va noter, dans les dossiers, absolument tout ce qui arrive aux soldats masculin et féminin, en termes de santé. Et ça c’est très important parce que, quand on attend d’un patient ou d’une patiente qu’il signale spontanément un problème de santé qui serait survenu suite à la prise par exemple d’un médicament, et bien quand on attend qu’il fasse les démarches, on peut parfois attendre très longtemps. Et les lobbies pharmaceutiques l’admettent tout à fait spontanément, ils estiment que la pharmacovigilance passive, volontaire, représente entre 3 et 10 % maximum des effets rapportés. C’est très intéressant de voir que ce que je vois aujourd’hui correspond parfaitement à ce que les médecins militaires américains voient, c’est à dire une explosion de troubles de la fertilité avec énormément de difficultés à tomber enceinte, des fausses couches, des fausses couches tardives, et on a vu d’ailleurs la natalité baisser fortement à partir de début 2022. Mais aussi tout un tas de problèmes de troubles de l’érection chez les messieurs qui suivent malheureusement l’administration d’un certain produit pour lequel on n’avait pas le recul suffisant, et qui était censé nous protéger d’un virus lorsque la crise sanitaire a commencé en 2020. Les injections que j’appelle anti chaos, anti chaos vide, parce que malheureusement nous sommes obligés de jouer avec les mots, vu qu’il y a une certaine forme de censure qui se passe sur les réseaux, et bien les injections anti chaos ont un impact au niveau cardio-vasculaire. Or, le pénis, puisqu’on est sur les hommes, eh bien, il va être turgescent, donc il va gonfler, pour peu que les corps caverneux et spongieux soient fonctionnels, que le sang y arrive. Et si vous avez des problèmes cardiovasculaires, ou si votre cœur pompe mal, eh bien ça va beaucoup moins bien se passer, et c’est ce qui se passe. C’est ce que j’observe à travers le regard de mes patientes. J’ai très, très, peu de messieurs qui osent venir m’en parler, mais ça commence timidement, et vraiment, vraiment, il faut une prise de conscience, il faut des podcasts comme celui-ci pour que ça se sache.
Olivier Mageren: [00:11:14] Oui, comme tu le dis, il y a à la fois le tabou et la censure qui se combine avec une pharmacovigilance passive. C’est à dire que si les personnes ne viennent pas consulter de manière proactive, parce que les hommes ne vont pas chez le gynécologue en général, tout passe sous le radar en fait. Et les hommes peuvent se sentir fortement impactés dans leur santé physique mais psychique aussi, et perdu, par rapport à des choses qu’on n’ose pas en parler nécessairement avec son collègue ou que sais-je en disant “Toi aussi tiens, tu observes que tiens, tu as un problème d’érection ou tu n’arrives plus à la maintenir, ou ça ne marche plus comme avant”.
Dr Laurence Kayser: [00:11:43] Alors la pharmacovigilance, ça ne nécessite pas forcément de passer par un médecin. On peut très bien soi-même se dire “J’ai un problème parce que, suite à la prise d’un médicament, suite à une injection que j’ai reçue, ça marche moins bien. Donc je vais le remonter moi-même, tout seul”. Et on n’est pas obligé de prouver quoi que ce soit. Ça c’est important, et les médecins c’est pareil.
Olivier Mageren: [00:12:04] Et on mettra le lien dans le descriptif dans l’article du podcast.
Dr Laurence Kayser: [00:12:08] Oui, c’est important. Le problème, c’est déjà de s’avouer qu’on a un souci, à soi-même, éventuellement d’en parler autour de soi, à sa compagne, bon ça elle va probablement s’en rendre compte, mais à la famille ou un ami pour être guidé, pour avoir la force, parce que c’est une atteinte à la virilité, c’est dur quoi. C’est quelque chose qui peut rendre vulnérable, accepter cette vulnérabilité et oser en parler, c’est déjà très difficile. Et puis il y a cette croyance qu’il faut absolument prouver la cause à effet, c’est pas du tout comme ça que ça se passe. Et même les médecins ont cette croyance, ça c’est vraiment très grave parce que nous sommes quand même la base de la santé. donc si les médecins même ne sont pas au courant de la façon dont fonctionne la pharmacovigilance, comment est-ce que le public va pouvoir se dépatouiller de tout ça? Alors simplement, ces pharmacovigilance c’est quoi? C’est un gros module statistique. Si vous avez une migraine chaque fois que vous prenez un comprimé et que beaucoup de gens rapportent la même chose à la pharmacovigilance, ben statistiquement, il va y avoir un marqueur et la pharmacovigilance va signaler à la firme tiens, mais on a x cas de migraine suite à la prise de votre traitement, donc vous devez l’inclure dans votre notice, c’est comme ça que ça se passe en fait. Il est quand même plus facile de remonter quand on a la migraine que de remonter, qu’on a des problèmes d’érection, voilà. Donc je pense que ça c’est déjà une première chose, c’est qu’il faut que tout le monde soit au courant, qu’on ne doit pas, ni, rien prouver, et que c’est anonyme également.
Olivier Mageren: [00:13:30] Oui. Et on parle d’érection, alors pour expliquer un peu comment fonctionne l’érection, pour que les hommes qui nous écoutent puissent comprendre, même les femmes d’ailleurs, souvent il faut revenir aux informations anatomiques. Mais l’érection, elle, se produit de manière naturelle par le corps, ce n’est pas dans le mental qu’on décide, ça se produit mais c’est le corps qui a son cycle lié au système nerveux central autonome. Et donc c’est le système nerveux qui enclenche le mécanisme d’érection, et puis c’est le système cardiovasculaire, c’est les cellules endothéliales, c’est à dire les cellules à l’intérieur des vaisseaux qui prennent le relais pour maintenir l’érection. Donc l’érection est créée, stimulée, l’impulsion est donnée par le système nerveux, mais ensuite, pour que ça tienne sur la durée, c’est le système cardiovasculaire qui prend le relais. Et donc, si le système cardiovasculaire est impacté dans son fonctionnement, il y a des chances aussi qu’on ne puisse par exemple pas maintenir une érection. Donc parfois, c’est pas le fait d’avoir ou pas une érection, c’est de dire “Ah tiens, j’ai une érection mais elle tient plus”, par exemple. C’est aussi un type de symptôme qu’on observe actuellement, et qui pose question, mais qui semble corroborer aussi de manière assez claire certains liens de causes à effets possibles, en tout cas qui doit nous amener à être vigilants et à comprendre. Et qu’en fait il faut pouvoir aussi comprendre, avec un professionnel, décortiquer un peu ce qui se passe, pour voir comment ça a évolué.
Dr Laurence Kayser: [00:14:38] Alors évidemment, ça ne ressemble en rien à ce qu’on voit dans les films pornographiques, où là les hommes sont merveilleusement performants et les femmes également. Mais il ne faut pas oublier que ces gens prennent des drogues. Je ne parle pas de cocaïne, mais je parle de Papavérine, ou les fameuses pilules bleues dont on a tous entendu parler, ça n’a rien à voir avec une relation, que ce soit avec ou sans amour, mais une relation entre deux personnes dans l’intime, ça n’a rien à voir. Effectivement, il faut savoir que, notamment, la firme Pfizer a mis à jour sa notice pour le Comirnaty, ce fameux produit censé éviter le chaos – vide. Et dans cette notice, ils ont admis qu’il y avait des myocardites qui avaient en général été constatés après la deuxième injection chez des hommes jeunes, et ils signalent certains cas d’issue fatale, comme ils disent pudiquement, pour ne pas dire décès, et également pas mal de cas nécessitant des soins intensifs d’urgence, c’est à dire quand ils ont expédié les gens en réanimation avec leurs produits. Et si vous sortez de là avec un cœur qui ne pompe plus correctement, si à 20 ans vous avez fait une myocardite et que vous vous en gardez les séquelles, comme par exemple d’être essoufflé pour monter l’escalier, vous allez évidemment avoir des problèmes aussi au niveau de l’érection. Et vous allez avoir même un risque qui peut-être potentiellement mortel de faire l’amour, donc il n’y a pas que un souci mécanique d’érection, mais il y a aussi un souci cardiaque. Et l’érection est effectivement à la fois médiée par le système nerveux autonome, dépend du système cardiovasculaire, mais bien entendu est encouragée ou parasitée par nos émotions. Et tout ça fait que c’est un équilibre subtil et qu’il est très facile d’attribuer au stress des problèmes sexuels, des problèmes masculins, qui serait peut-être bon d’investiguer au niveau physique. Parce que on peut avoir des problèmes circulatoires dus au diabète, ou l’hypertension, ou à des médicaments. Il y a des médicaments, des antidépresseurs qui empêchent le désir, mais qui empêchent aussi l’érection ou qui la prolonge exagérément. Il y a des antidépresseurs qui empêchent d’arriver à l’orgasme. Et tout ça, c’est une réalité, il faut pouvoir entendre que l’être humain est complexe et que chaque fois qu’on va bousculer cet équilibre, notamment avec des produits chimiques, parce que les médicaments sont des produits chimiques, y compris les injections décrites comme étant vaccinales, ce sont des produits chimiques, tous ces thérapeutiques ont des effets indésirables. C’est comme ça, il suffit d’ouvrir le vaccin grippe pour lire qu’il y a des effets indésirables, ça existe, c’est comme ça, tous, tous, tous, et il faut pouvoir l’entendre. Or, on nous a mis ça sous la carpette, en minimisant, voire en occultant, le fait que ces produits-là aussi, les injections de 2021 avaient des effets potentiellement nocifs. Parce qu’on a tellement exagéré leurs effets bénéfiques et leur importance que les gens n’ont pas eu conscience que ça pouvait arriver. Et aujourd’hui, on se trouve devant beaucoup de couples et beaucoup de gens qui sont en errance médicale, et qui consultent parfois d’abord un sexologue, sans penser que peut-être il y a un problème somatique. Et quand ils vont enfin, éventuellement, atterrir chez un sexologue ou un cardiologue, et bien il est fort probable que ce médecin-là ait aussi beaucoup de mal à admettre qu’un vaccin puisse avoir des effets secondaires. Il faut que les gens se réapproprient leur santé et acceptent qu’ils sont peut-être victimes d’effets délétères de tel ou tel produit, de tel ou tel antidépresseur. Et que le stress, il a bon dos, parce que oui, c’est vrai qu’on peut ne plus désirer sa femme, ça peut arriver effectivement, mais est-ce que l’érection matinale est préservée par exemple? Ça, c’est vraiment très, très important. Je ne sais pas si vous transmettez le truc des timbres, c’est plus tellement à la mode parce qu’on n’écrit plus beaucoup de lettres, mais pour savoir s’il y a une érection matinale, eh bien il était conseillé, pendant mes études, je ne suis plus toute jeune, il était conseillé de faire une bague de timbres autour du pénis quand on va faire dodo. Et le matin, si les petits pointillés entre les timbres se déchiraient, c’est que l’érection matinale était de bonne qualité. Pourquoi est-ce qu’on proposait ça? Mais simplement parce que l’homme, il est à moitié endormi, il ne se rend pas forcément compte de cette érection, ça peut même être durant le sommeil. Et donc c’est intéressant d’avoir cet indice-là pour dire, ben voilà, il y a effectivement un problème qui n’est pas lié au stress. Là, on voit bien que ça n’a rien à voir avec l’émotion, c’est physiologique, c’est physique, il y a un problème. Ou bien si, non c’est juste effectivement peut être un problème relationnel dans le couple.
Olivier Mageren: [00:18:57] Et c’est vrai que c’est pas toujours évident. On peut quasiment tirer un peu la couverture si on fait un diagnostic rapide ou superficiel, qu’on ne fait pas une anamnèse fouillée de dire “Bah oui, c’est plutôt psychologique et pas somatique, ou c’est en lien avec rien d’autre que la médecine, mais c’est lié à votre vie, à votre manière d’agir ou d’être dans la sexualité”. Donc c’est vrai que c’est complexe, la sexualité c’est vraiment un domaine extrêmement complexe pour diagnostiquer, parce que la dynamique de couple, de relationnel, de communication, toutes les émotions. Et on sait bien aussi que la sexualité est aussi un des précurseurs parfois, en tout cas, moi je l’ai appris comme ça à l’ULB, où apparemment on formait de plus en plus les médecins qui sortent actuellement sur la santé sexuelle, parce qu’on sait que c’est aussi un précurseur d’autres problèmes plus graves comme le diabète ou autres, qui prennent plus de temps à se développer. Et qu’en fait tous les problèmes majeurs de santé, qui touchent au système nerveux, cardiovasculaire ou autres, eh bien se voient avant tout dans des défaillances sexuelles à un moment ou un autre. On aurait pu l’anticiper et diagnostiquer bien plus tôt des problèmes qui n’ont rien à voir avec la sexualité, mais qui aussi impactent la sexualité. Et même en consultation, parfois les médecins n’osent peut-être pas poser la question “Comment ça se passe au niveau de votre sexualité?”. Ça reste… Parce qu’il faut être formé, et puis il faut être à l’aise, il faut quand même, c’est pas un sujet où tout le monde ose ouvrir la porte, surtout quand c’est pas une habitude. Mais donc il y a beaucoup de paramètres, mais en même temps il faut objectiver. Et je crois que individuellement, chacun peut voir comment ça évolue, et s’il y a eu effectivement quelque chose en lien.
Dr Laurence Kayser: [00:20:14] Un avant et un après!
Olivier Mageren: [00:20:15] Un avant, un après.
Dr Laurence Kayser: [00:20:16] Ouais. Il est évident que le mode de vie va aussi être important, si on est un gros fumeur, si on a un excès de poids, parce que il faut savoir que dans la graisse périphérique on produit des œstrogènes et que les œstrogènes c’est féminisant, et c’est pas très, très, bon pour la testostérone, ça a aussi un impact. Et le médecin va avoir très facile à parler de ça, mais par contre il va pas du tout, parce que c’est un tabou aussi pour les médecins, il va pas du tout ou très rarement poser des questions sur la vie intime du patient ou du couple. Il va prendre la tension, il va peut-être faire une prise de sang, mais il va difficilement oser poser les questions. Étant donné que chacun est responsable de sa santé, c’est souvent au patient qu’appartient le fait d’en parler, et de venir déposer ça chez son généraliste. Et alors là, tout dépend de la relation qu’on a avec le médecin traitant, il y a encore des médecins traitants qui sont très, très, à l’écoute, mais malheureusement ça se perd. On est face à une médecine de protocole, avec des jeunes médecins qui ont été sélectionnés sur des sciences dures comme les mathématiques ou la physique, qui sont habitués à obéir à des modes d’emploi tout fait, comme si chaque patient était identique et comme si, justement, tous les paramètres qui influencent la génétique, ce qu’on appelle l’épigénétique, Si tout ça n’existait pas. On n’est pas très formés d’ailleurs à l’épigénétique en médecine! On assiste à une espèce de clivage entre le monde médical tel qu’il évolue aujourd’hui vers une médecine de collectivité, avec des solutions clés sur porte je vais dire, et des médecins qui ont perdu l’habitude d’écouter, mais aussi d’examiner. Je ne sais pas s’ils ont encore des cours corrects de sémiologie, l’étude des signes et symptômes, mais on voit qu’ils regardent beaucoup, beaucoup leur ordinateur, et beaucoup moins leurs patients. Et un patient qui est de plus en plus en demande d’autre chose, et qui ne sait plus à quel saint se vouer, et qui ne sait plus très bien vers où se diriger. Et derrière tout ça, il y a des problèmes de couple, mais il y a aussi des problèmes de fertilité, si vous n’arrivez plus à avoir une érection suffisante pour faire l’amour à votre compagne, vous faites comment pour faire un enfant? On déborde complètement le problème personnel en fait, et ça peut expliquer aussi cette chute de plus de 300 % de la fertilité qui est une histoire de couple et pas une histoire de personne quoi.
Olivier Mageren: [00:22:24] C’était une de mes questions. On parlait de l’érection. Mais est-ce qu’il y a d’autres paramètres en médecine que tu vois, en lien avec la santé sexuelle masculine, qui seraient impactés? On parle de la fertilité, évidemment on voit par rapport au taux de natalité, mais de manière plus spécifique et centrée chez les hommes, est-ce Qu’il y a des données, des informations que tu disposes par rapport aussi à la libido, comme exemple, ou bien des impacts sur tout l’appareil Uro-génital finalement? Est-ce qu’on voit autre chose?
Dr Laurence Kayser: [00:22:46] Alors il y a (Olivier Mageren: Qui apparaissent) plus de problèmes de prostate, plus jeune aussi. Ce que je constate, il y a vraiment un avant-après 2021. Je fixais en 2021 parce que c’est à ce moment-là qu’on a commercialisé les produits vaccinaux. Il y a un avant et après, et on voit beaucoup plus de problèmes chez des gens plus jeunes, des problèmes plus brutaux, et plus difficiles à traiter, que ce soit au niveau cardio-vasculaire, mais aussi au niveau endocrinien. Qu’est-ce que c’est qu’une glande endocrine? C’est une glande qui produit des hormones, donc c’est hypophyse, c’est testicules, ovaires, pancréas et thyroïde, toutes ces glandes étant en dialogue constant entre elles. Si vous êtes exposé à un produit qui perturbe les hormones, ou les fameux perturbateurs endocriniens, parce que il ne faut pas se leurrer, on est dans un environnement extrêmement pollué, pollué par peut être nos voitures ou nos usines, mais pollué aussi par tous ces pesticides, et certains engrais qui contiennent beaucoup d’œstrogènes. Et bien ça se retrouve dans l’eau du robinet. On voit bien, on a entendu parler des PFAST, si vous buvez ça, c’est pas que quelqu’un a gratté sa poêle à frire trop longtemps au-dessus d’une centrale d’épuration d’eau, c’est pas vrai, les PFAST sont des pesticides. Il y a aussi toute cette industrie pétrochimique et agroalimentaire qui nous créent des écrans de fumée pour qu’on regarde ailleurs, mais si vous mettez tout ça ensemble, et bien on a quand même pas cette césure, ça ne s’explique pas uniquement par ces produits qui étaient là avant 2021. Et puis boum, il y a un sursaut de pathologie. On n’y pense pas forcément, mais si vous avez un problème de vessie, que vous avez un cancer, un polype, que vous faites des infections à répétition ou que vous avez des fuites urinaires, et bien ça va être compliqué pour faire l’amour parce qu’on est quand même sur l’intime. C’est dégradant, quelque part, d’avoir des problèmes comme ça. On va être confronté à des médecins qui ne vont pas chercher forcément la cause primaire, qui vont traiter le problème, qui vont éventuellement pas aller voir “Mais qu’est-ce qui se passe au niveau de votre système immunitaire?”. Parce que nous sommes très, très mal formés au niveau de la compréhension du système immunitaire. Et ça c’est tragique parce qu’on nous présente ça comme étant quelque chose qu’on maîtrise parfaitement alors qu’on ne sait absolument pas ce qu’on fait. Je fais une petite digression mais, à force de vacciner des enfants sans prendre la mesure de ce qu’on fait dans le corps, puisque tous ces produits sont testés séparément, on ne se rend pas compte de ce qu’on a accumulé tout au long de notre vie, plus ce qu’on boit, ce qu’on mange. Les cosmétiques qui peuvent contenir des perturbateurs endocriniens également, et les médicaments derrière. On va se retrouver avec des soucis complexes, des fragilités immunitaires, notre système immunitaire il n’est pas seulement là pour protéger contre des virus ou des bactéries, mais il est aussi, et surtout là, pour nettoyer le corps de toutes ses imperfections, notamment des cellules cancéreuses, puisqu’il y a une cellule cancéreuse qui se développe tout au long de notre vie. Toutes les trois secondes, on a une cellule cancéreuse qui se développe dans le corps, et ça c’est géré par le système immunitaire. On se retrouve là dans des problèmes complexes, qui sont couverts par la cloche du tabou, et avec des médecins pas formés à prendre ça en charge, et des gens qui sont ignorants des solutions, et qui ont une certaine timidité à en parler, une certaine honte qui ne devrait pas être mais qui est. Et donc c’est facile de dire à un homme “Si vous avez des problèmes d’érection, c’est probablement que vous êtes trop stressé, ou vous êtes fatigué, ou ça ne va plus avec madame”, c’est facile de dire ça, mais je pense que c’est vraiment important d’ouvrir le champ. Tu parlais tout à l’heure de prendre du recul, c’est très important de prendre du recul et de vraiment regarder l’être humain dans toute sa complexité, y compris psychique, bien entendu. Mais le soma, on est quand même dans un véhicule corporel ici, on est dans une incarnation, et bien il faut prendre soin de ce corps en priorité je dirais. Parce que les deux sont liés, et que si le corps ne va pas bien, le psychisme n’ira pas bien non plus et inversement. Il y a beaucoup de gens qui, une fois qu’ils ont été reconnus comme étant victimes, d’une agression, de harcèlement, d’un produit chimique, et bien ils se sentent déjà mieux alors que le problème somatique est toujours là. Il faut pouvoir le dire et mettre des mots, c’est très important.
Olivier Mageren: [00:26:43] Ouais, je reviens avec des mots que tu disais tout à l’heure: s’approprier sa santé quoi. On vit dans notre corps, on sait comment il évolue, il faut parfois de l’aide pour avoir une introspection ou une observation encore plus objective et experte, mais on est les premiers experts de notre santé et on sait de quoi on parle, et on sait comment elle évolue. Et on parlait, j’ose le mot mais “une explosion” de problèmes médicaux-génitaux, et puis parfois les personnes prennent la peine d’aller voir les statistiques, et Pierre Chaillot en parle. Est-ce que tu pourrais nous toucher un peu quelques mots sur, finalement c’est quoi les statistiques médicales actuelles? Comment on doit les interpréter et les comprendre aussi?
Dr Laurence Kayser: [00:27:14] Alors il y a une technique pour diluer les effets, c’est de faire des sous-catégories. Au lieu de signaler, par exemple je prends les problèmes neurologiques, parce que on peut aussi en parler par rapport à l’érection, vu qu’on a parlé du système nerveux ben il faut qu’il fonctionne bien. Si vous avez des problèmes neurologiques, ça ira moins bien: sclérose en plaques, neuropathie, la neuropathie diabétique, c’est une réalité aussi. Si pour revenir aux statistiques médicales, vous prenez: non pas la grosse enveloppe problème neuro, mais que vous fractionner en disant il y a autant de cas de sclérose en plaques, il y a autant de maladie de Charcot, la sclérose latérale amyotrophique, il y a autant d’atteintes neurologiques périphériques, c’est à dire les nerfs et pas la moelle, il y a autant de migraines, ou si vous faites toutes sortes de petites cases, et bien les signaux seront beaucoup plus petits. Si vous mettez tout ensemble, ça va faire un pic de fréquence qui va attirer l’attention de la pharmacovigilance parce qu’elle ne pourra pas mettre ça sous la carpette. On peut faire la même chose avec les morts, un mort c’est un mort, mais de quoi est-il mort? Si vous diluez les causes de mortalité, eh bien vous n’allez pas voir le signal qui est alarmant parce qu’il faut quand même se rendre compte qu’il y a des gens qui meurent aujourd’hui. On a tous entendu des personnes faire des turbo cancers, c’est un terme qu’on ne connaissait pas avant. Et la mort subite de l’adulte, ça n’existait pas non plus avant. Il y a des gens qui ne se réveillent pas, il y a des gens qui font des cancers, en six semaines ils sont partis. Il y a des gens qui ont des maladies neurologiques qui sont extrêmement violentes et avec des décès rapides. Et bien si on ne voit pas ça au niveau de la pharmacovigilance, c’est parce que c’est lissé, c’est atténué par le fractionnement et ça empêche de lancer un signal d’alerte fort pour dire “Attention, on n’est pas du tout sûr de ce qu’on a fait avec les injections de 2021”, injections qui n’ont été testées ni pour empêcher d’avoir la maladie, ni pour empêcher de la transmettre, il faut quand même savoir ça, c’est dans les contrats, c’est d’ailleurs repris par le Sénat américain aujourd’hui. C’est pas du tout un bruit de couloir, une rumeur, ou une vue de l’esprit, c’est quelque chose de totalement factuel. Si ces produits n’ont pas été testé pour ça, a quoi servent-ils? Quel est l’effet primaire de ces injections? Un effet primaire, c’est quoi? Un médicament est prévu pour traiter un problème, un antibiotique est censé tuer, admettons, Escherichia coli, voilà. C’est donc sans effet primaire, son effet primaire c’est de traiter les infections à Escherichia coli, son effet secondaire peut être “On a de la diarrhée”, parce que ça élimine notre flore normale. Un produit qui est commercialisé mais qui n’a pas été testé pour éviter une maladie, ni pour la transmettre, mais qui est commercialisé sous cette étiquette-là, ben son effet primaire ce n’est pas d’être complètement inutile, son effet primaire c’est peut-être de causer des soucis en fait! On peut se demander vraiment “Mais à quoi ont servi ces injections, à part à faire énormément d’argent?”. 39 milliards de dollars en 2023 pour Pfizer, je pense, c’est énorme. Et à côté de ça, on a ces gens qui sont en perte de repères face à un monde médical qui s’obstine à considérer que tout ce que dit une firme pharmaceutique est sûr, efficace, et crédible. Je suis désolé, mais si je regarde le business du pharmaceutique aujourd’hui, je serais fabricante de médicaments, je serais contente que vous en preniez beaucoup, il faut quand même s’en rendre compte. On peut aussi avoir une petite crainte par rapport à ça, c’est que, une fois que le patient qui a des troubles de l’érection arrive à trouver les mots, le courage pour aller en parler à son médecin, on peut craindre que la solution soit médicamenteuse uniquement. Et c’est là que je dis on ne cherche pas toujours la vraie cause, et il faut se souvenir que notre corps il est formidable, il a une capacité de guérison qui est énorme, mais il faut l’aider à ça. On peut avoir des troubles de l’érection sur carence en vitamine D par exemple, à l’heure où justement on est en train de modifier les normes, mais pas dans le bon sens. Les normes de laboratoire sont complètement déconnectées de la réalité, et très peu de gens savent que la vitamine D c’est une hormone, ce n’est pas une simple vitamine. Et on est en train de dire aux généralistes que ça n’a aucune importance de donner la vitamine D, et que ça n’a même pas d’intérêt de la doser, alors que c’est très, très, important pour notre système immunitaire, pour la protection cardiovasculaire, pour le rôle anticancer. Et elle peut-être en cause, au moins partiellement, dans les problèmes d’érection aussi mais les hommes ne le savent pas, et en plus ils ne sont pas très compliants, malheureusement hein? Nous, les nanas, on a l’habitude de devoir prendre la pilule très tôt dans notre vie, parce que sinon on tombe enceinte. Mais les hommes sont malheureusement peu compliantes. Si on masque cette information, pour tout le monde y compris pour les médecins, ça va être très grave.
Olivier Mageren: [00:31:40] Tu parlais de la fonction première de ces vaccins qui sont inconnus, à l’heure actuelle quasiment, on peut suspecter des choses, mais au moins ce qu’on peut faire, c’est en parler, et partager l’information. Parce que comme tu dis, ça a été révélé au Sénat américain, et c’est validé, et c’est connu, mais c’est aussi en Allemagne: une enquête approfondie en Allemagne, qui a fait beaucoup plus de bruit, mais qu’on n’entend pas chez nous, ça a été aussi validé. Et il y a un livre qui s’appelle “The Pfizer Papers” de Naomi Wolf, je crois que c’est 2000 scientifiques à travers le monde, certains retraités ou autres, qui se sont dit “Ok, on va analyser les centaines de pages qu’on nous a envoyées par la Big pharma et pour regarder, qu’est-ce qu’on en comprend”. Et ils disent bien “Tiens, c’est étonnant quand même. On ne sait pas quel est l’objectif premier”, mais néanmoins – quoi qu’ils ont des pistes – ils ont révélé dans le livre, qui est quand même une brique et une référence, à l’heure actuelle, que une des cibles première est la zone génitale, qu’elle soit homme ou femme, et que une des cibles impact important serait la fertilité entre-autres. C’est quand même suspect et j’ai pas envie de laisser passer ça sous le radar parce qu’en ayant l’information, en voyant aussi des gens de 20, 25 ans venir me voir en disant “Il y a des problèmes d’érection” mais je veux dire, c’est quand même assez étonnant. Même eux sont surpris, ils disent “J’ai toujours super bien. Qu’est ce qui se passe?”. Et le fait que, quand on parle de fertilité, souvent les hommes ne le savent pas mais c’est pas parce qu’on produit du sperme qu’on est fertile. Le sperme peut être infertile, il y a trois pour 100 environ de spermatozoïdes dans le sperme donc en fait, les hommes croient que tout va bien si quelque part il y a un éjaculat ou quoi, ils disent “Mais il n’y a rien”. Mais non, il faut se rendre compte que peut-être que il y a une évolution aussi. Et qui fait des spermogramme pour vérifier ou…? Qui analysent que la spermatogénèse n’a pas été impactée ou que les testicules n’ont pas été endommagés ou que sais-je? C’est quand même un problème de santé publique grave, on ouvre une fenêtre de parole mais je pense que… C’est inquiétant.
Dr Laurence Kayser: [00:33:18] Alors moi je pense qu’il faut pas forcément avoir réponse à tout, mais il faut avoir question à tout. Les RKI file en Allemagne, le Robert Koch Institute, c’est l’équivalent de l’Institut Pasteur en France, il est aussi important sur l’Europe entière pour les prises de décisions par rapport, notamment aux infections auxquelles sont soumises la population, que les RKI Files ont clairement démontré que ces injections n’avaient pas été commercialisés dans le but d’éviter quoi que ce soit. Donc effectivement, à quoi ça sert si derrière on constate qu’il y a une chute de la natalité, de la fertilité, par la force des choses, il faut laisser la porte ouverte pour chercher des réponses, c’est indispensable. Mais bien sûr, moi je suis clinicienne, moi je pars de ce que je vois, de ce qu’on me raconte, et je ne suis pas dans un laboratoire à regarder des produits au microscope, je n’ai pas la réponse à tout ça. Ce que je sais, c’est que quand j’ai commencé mes études, j’ai été diplômée médecin en nonante sept et gynécologue en 2002, ça fait un petit peu de bouteille quand-même, eh bien, au tout début de ma pratique, je testais pas, je ne faisais pas de spermogramme et j’ai vu évoluer très fortement l’infertilité qui est passée des femmes vers les hommes. Et en dix ans, on testait systématiquement les spermogramme quand il y avait un désir de grossesse, inabouti évidemment. Effectivement, il y a des anomalies dans le sperme qui peuvent être en quantité, donc pas assez de spermatozoïdes. Qui peuvent être en mobilité, la quantité c’est oligospermie, trop peu de spermatozoïdes. La deuxième c’est qu’ils ne bougent pas bien, asthénospermie, ils sont fatigués, ils n’ont plus le GPS pour arriver au bon endroit. Et il y a la forme, les anomalies de forme, la teratospermie. Et vous pouvez combiner les trois, vous pouvez avoir une oligo-asthéno-tératospermie, tout en ayant un volume d’éjaculation préservé, et même une bonne érection. Là, l’infertilité ne va pas forcément de pair avec des troubles de l’érection. Si vous combinez avec une difficulté à avoir un rapport c’est évident que vous allez avoir du mal à concevoir un bébé. Il y a plus de consultations en centre de procréation médicalement assistée ici depuis 2021. J’aimerais attirer l’attention sur le fait que l’infection qui a semé la panique en 2020 sur le monde entier a touché en mortalité presque exclusivement des personnes de plus de 83 ans. Et que injecter un produit pseudo protecteur à des jeunes de quinze ans, ou même de 30 ans, n’avait absolument aucun sens. Parce que, et là je reviens sur le fait que les médecins ne connaissent pas bien le système immunitaire, on a prétendu: 1, que l’immunité naturelle n’était pas efficace contre cette maladie-là, alors que ça fait quand même un petit paquet de millions d’années que la vie évolue sur Terre et que le système immunitaire s’est peaufiné tout au long de cette évolution pour être particulièrement performant. Un, on nous a dit, à nous médecins et au grand public, que l’immunité naturelle, ça ne marchait pas. On a vu des médecins courir derrière des gens, même des jeunes, qui venaient de sortir de leur lit parce qu’ils avaient été malades et leur courir derrière pour les injecter, pour soi-disant les protéger d’un truc qui venait d’avoir et que le système immunitaire avait déjà rencontré, c’était complètement inutile. Deuxième chose, c’est le fantasme de l’immunité pour l’autre, l’immunité pour autrui. On ne peut en aucun cas être rendu responsable de la santé de quelqu’un d’autre, quelle qu’en soit la raison. Sauf, sauf, pour les enfants ou les personnes vulnérables, si vous cessez d’alimenter votre enfant, c’est clair que vous allez être responsable de son décès. Et même chose pour la mamie si elle est grabataire et qu’on ne la soigne pas. Et c’est ce qui s’est passé en fait, c’est ce qui s’est passé, on a assassiné, par absence de soins, toute une tranche de la population à partir de 2020, ce qui est proprement scandaleux. Et là, je vise directement ma profession et j’assume mes propos, je ne dis pas qu’Olivier en est le responsable, mais j’assume mes propos. À partir du moment où nous avons reçu l’instruction de ne pas soigner les gens et de laisser les cabinets de consultation fermés, on a abandonné des personnes vulnérables à leur sort. Forcément, nous sommes, nous médecins, les premiers responsables de ces décès. Et avoir raconté que les enfants, que les petits enfants allaient tuer leur papi et leur mamie s’ils ne gardaient pas à un mètre 50 de distance, ce qui n’a aucune base scientifique, leur avoir imposé de porter un masque qui était commercialisé avec l’inscription sur les boîtes “Ne fonctionne pas sur les virus”. Et avoir prétendu qu’il devait être injecté par un produit inefficace pour soi-disant éviter de propager la maladie à leurs Grands-Parents qui eux même étaient injectés. On voit bien qu’ils savaient parfaitement que ça n’empêchait pas d’avoir la maladie, et bien c’est un symptôme gravissime d’une dérive totalitaire en fait, j’assume de nouveau mes propos, mais je crois qu’il faut pouvoir mettre des mots sur les choses. Je crois qu’aujourd’hui nous ne sommes pas devant des effets indésirables, nous sommes devant des effets désirable et désirés, avec des gens qui n’entendent pas assez souvent ce discours-là parce qu’on les maintient dans l’ignorance.
Olivier Mageren: [00:38:10] Personnellement je pense que, à la fois ce qu’on fait dans ce podcast, alors toi tu parles en tant que médecin, avec tes connaissances et aussi ton courage d’oser parler malgré la censure. Et pour notre part, ben à la fois on respecte la constitution, la constitution en Belgique c’est le droit à la liberté d’expression, et c’est nécessaire, sans débat, sans confronter les idées, sans partager les expériences, on ne peut pas avancer. Je pense que c’est hyper important parce que la Constitution c’est des droits et des devoirs, mais je pense qu’on a le devoir de parler, et de ne pas cacher ce genre de choses. Ou sinon je suis complice, aussi, ou je permets que ça se perpétue, et on reproduit des situations déplorables. Et je fais un lien avec hier matin, je vais travailler, il est très tôt le matin, je traverse une place à Bruxelles, et je vois une personne à terre mais pfffff qui tremble, qui, est-ce qu’il a bu? Drogué? Je ne sais pas mais bon c’est le samedi matin, très tôt, il a peut-être trop guindaillé. Est-ce qu’il s’est cogné en tombant? Je ne sais pas, mais je voyais des gens passer à côté sans…. Mais je suis à une rue du bureau de police et mon réflexe “Ok, je vais au bureau de police dire il faut l’aider quoi”. Parce que moi je dois aller travailler, mais je ne suis pas médecin, je ne sais rien faire hein, je ne suis pas urgentiste. Et ils m’ont sermonné, j’ai dit “Écoutez, j’ai vu plein de gens passer à côté sans rien faire. Moi, je viens en tant que citoyen dire il faut peut-être l’aider”. Et ils m’ont dit “Mais monsieur, c’est grave ce que vous faites, c’est non-assistance en personne en danger”. J’ai dit “Oui, mais il respire, ok il est à terre, il tremble, il, son comportement est bizarre mais il est peut être sous drogue, mais moi je ne peux rien faire hein? Quand bien même”. Ils m’ont dit “Mais monsieur, c’est vraiment grave”. Je suis parti en étant dégoûté, réellement, je leur ai dit “Mais je m’en vais, c’est vraiment dégueulasse de me faire la morale”. Et pour un petit détail comme ça, on me dit que c’est non-assistance en personne en danger, l’état nous permettrait peut-être de censurer ce podcast parce qu’on dévoile des choses et après ils m’ont dit “Appelez le 100”, ben j’ai appelé le 100, ils ont dit “Nous on ne le fait pas”. Ok, ben moi j’appelle le 100 hein? Et j’appelle l’ambulance, et j’ai dû attendre, après les urgentistes ils ont l’habitude, ils disent “Au centre de Bruxelles, le samedi matin, ok”, ils s’en ont chargé, mais on m’a fait la morale que j’avais mis quelqu’un en danger.
Dr Laurence Kayser: [00:40:04] On voit bien qu’ici nous sommes dans une confiscation de la responsabilité individuelle parce que plus personne n’assume rien. On ne sait plus à qui on doit s’adresser. Les patients, ben justement, ils ne savent plus très bien où aller puisque le médecin il voit pas le problème et qu’ils le renvoient chez le psychiatre. Et le policier au lieu de te sermonner, peut-être qu’il aurait pu lui déjà envoyer une patrouille, et puis appeler le 100. Mais non, c’est finalement, plus personne n’assume rien, et on infantilise la population alors que les enfants on les parentalisent. On est dans une société, vraiment, qui est très malade, et qui censure le débat, qui punit les honnêtes-gens, qui persécute les médecins qui osent penser par eux-mêmes, j’en sais quelque chose et finalement j’en suis fière. Et tout ça pour masquer que l’intérêt majeur, aujourd’hui, est uniquement le contrôle et le pouvoir de l’argent au détriment du bien-être de la population. Un peu comme dans un système bolchévique où on peut sacrifier des individus au profit de la collectivité. C’est exactement ce qui s’est passé en 2020, et, et dans les suites parce que…. Pousser des gens qui n’avaient pas de risque de décéder d’une maladie à accepter un produit dont on n’avait aucune idée des répercussions à court, moyen et long terme, y compris au détriment de la Convention d’Oviedo qui interdit de toucher à l’ADN. Parce que, on n’en parle pas assez, mais il y a des produits génétiques, et c’est une thérapie génique selon la définition, et pas du tout un vaccin, au départ! Bon, ils ont changé la définition en cours de route, mais ça ne correspond pas. On a mis du matériel génétique inconnu dans des gens qui n’en avaient pas besoin et sans mesurer, le moins du monde, l’impact. Et sans permettre un suivi de toutes les personnes injectées, ce qui normalement doit être fait quand on est en étude de phase trois, parce que c’était le cas pour tous les produits soit disant protecteur, injectables. Ils auraient dû enregistrer, suivre, enregistrer tous les effets indésirables éventuels, et tout de suite répondre aux interrogations des gens, y compris sur leur sexualité, évidemment, par rapport à… Et sur leur fertilité, par rapport à ces produits pour lesquels on n’a toujours pas de recul à long terme, on saura dans 30 ans ce qu’on a fait.
Olivier Mageren: [00:42:14] Et on parle de recul mais, moi en tant que sexologue je me sens aussi à prendre ma part de responsabilité individuelle mais sociale, à parler du sujet. Parce que souvent, déjà pour un problème classique, les couples prennent parfois plusieurs années avant d’oser parler. Alors oui, quand est ce qu’on va voir qu’il y a eu des problèmes? Moi je le vois déjà et je me dis “Ok, il y a des signes, ce n’est pas anodin et il faudrait peut-être aller…”. Que le mot passe parce qu’en fait il y a des choses à comprendre, et qui nous échappent pour l’instant. Et que si les gens prennent trois ans avant d’oser en parler, et qu’ensuite il y a une accumulation d’autres problèmes, en fait on ne saura jamais ce qui se passe. On ne saura jamais, si on attend trois ans il peut y avoir tellement de choses qui se passent dans une vie que tout va être un peu, tu parlais d’un écran de fumée tout à l’heure, mais on peut diluer beaucoup de choses si les gens ne se réveillent pas ou n’osent pas en parler. Donc ici, c’est vraiment une invitation à dire “Ben observez, et voyez ce qui s’est passé parce que, le système ne va pas nous aider, s’il nous ont amenés dans cette situation-là”. Soyons honnêtes, pourquoi ils ont permis tout ça sans avoir, on parle souvent de agir “en bon père de famille”, avec vigilance, avec prudence, avec tempérance, pas généraliser. Il n’y a jamais un médicament “One fits all”, même l’aspirine ne peut pas être donné à tout le monde, mais ici ils ont forcé, ils n’ont même pas permis ils ont forcé. Alors évidemment, on parle de comment le corps médical se comporte aujourd’hui parce que je ne pense pas que beaucoup de gens vont vouloir aider dans cette direction, et de prendre au sérieux, et de prendre par la main aussi, sans infantiliser ni se prendre, enfin victime-sauveur c’est pas ça le propos non plus, mais d’être objectif, de regarder ce qui se passe et qu’est-ce qu’on peut faire. Mais je crois que ça tient de la responsabilité de chacun parce que ça ne viendra pas par le système en place. Je pense que le système en place a tout intérêt à diluer à chaque étape du processus, à chaque institution et à chaque intermédiaire ou intervenant, pour qu’en fait on oublie rapidement ce qui s’est passé et que dans dix ans on se dit “Oui bon ok, on le savait, mais maintenant il est trop tard”
Dr Laurence Kayser: [00:43:58] On est dans une véritable guerre de l’information hein? À partir du moment où vous avez des gouvernants qui se comportent comme des tyrans en terrorisant la population, ce n’est absolument pas le rôle d’un gouvernement que de raconter tous les jours le nombre de décès qu’il y a. Ou alors on le fait pour toutes les maladies, alors on n’en finit plus donc ça n’avait pas de légitimité de faire ça comme ça. Nous sommes face à un mensonge d’État, il y a eu de l’extorsion de consentement, du chantage, il y a eu aussi des incitants puisqu’on a des États qui se sont permis d’offrir des tas de cadeaux aux jeunes, un ballon de foot signé par leur idole, ou un ticket pour un festival, ou une prime pour partir en vacances, ou des choses encore plus délirantes comme des bières, des pipes et des joints. C’est vraiment pour la santé des gens ça, c’est clair hein, c’est connu. On est vraiment face à une guerre de l’information qui s’appuie sur le trauma. Il y a l’amnésie traumatique, les gens ne veulent plus, ils ont eu tellement peur, ils ont eu tellement, parfois honte de céder, que ils préfèrent oublier. Or, moi, je le dis toujours aux patients, “Vous êtes victimes d’une manipulation de l’information et de contraintes, certes. Vous avez cédé parfois pour des motifs qui peuvent sembler futiles comme: aller au sport, partir en vacances ou aller au resto mais qui sont, ce sont des libertés individuelles tout à fait normal de vouloir faire ça”. Et ce qu’il fallait se demander, c’est “Pourquoi, s’il y a une maladie identique en Belgique et en France, pourquoi ai-je besoin d’un pass pour passer la frontière alors que tout le monde savait que c’était une zoonose?”. Alors on me dit “Non, non, je ne savais pas ce que je ne savais pas que c’était une zoonose”. Une zoonose c’est une maladie qui est portée aussi par les animaux. Ben est-ce que vous ne connaissez pas le pangolin et la chauve-souris? Si, vous savez, vous savez que c’était porté par les animaux, est-ce que vous croyez que ces animaux s’arrêtent à la frontière? Pas du tout. Les vétérinaires, eux, ils connaissent parfaitement les coronavirus du chat. D’ailleurs, ils savaient que vacciner un chat contre le coronavirus, ça fragilise l’animal par rapport à cette maladie, c’est le phénomène des anticorps facilitants. Au lieu de protéger ça, ça ouvre une porte en fait dans le corps pour que le virus passe plus facilement. Et je ne comprends pas les vétérinaires qui ont couru se faire injecter contre le chaos vide là alors qu’ils savaient que ça ne marche pas, et qu’en plus ce sont des virus qui mutent tout le temps, mais ça, ils ne l’ont même pas caché. Ils nous parlaient de mutations tous les quatre mois, sans modifier les injections, ça n’a aucun sens. C’est encore une absurdité que le monde médical aurait dû pointer du doigt immédiatement. Moi je dis souvent aux gens “Ok, vous êtes victimes effectivement”. Alors moi je ne me présente pas en sauveur, je suis médecin, je suis payé pour ça, on n’est pas dans le triangle de Karpman, on est dans une relation saine, thérapeutique. Je dis “OK, vous êtes victime, mais vous êtes aussi responsables. Vous êtes responsables parce que maintenant on va cesser de jouer au petit garçon ou à la petite fille et vous allez prendre soin de vous, en adulte.”. C’est ça, c’est important de remettre les gens à leur juste place. Responsable ça veut pas dire coupable, mais ça veut dire qu’on a les moyens d’agir sur soi-même, pour que ça n’arrive plus, pour prendre soin de soi, pour aller vers les solutions qui vont, marcher ou pas, de toute façon nous sommes tous différents, donc une solution peut fonctionner sur quelqu’un et pas sur quelqu’un d’autre. Et aussi pour pouvoir protéger les enfants. Parce que qu’est-ce qu’on va encore nous inventer pour le prochain vaccin infantile? Il faut aussi regarder ce qu’on fait aux femmes enceintes aujourd’hui hein? Une femme enceinte à laquelle on ne peut pas donner une goutte d’huile essentielle a maintenant six vaccins: diphtérie, tétanos, coqueluche, grippe, covid et bronchiolite. Et alors que, c’est comme une personne immunodéprimée, une femme enceinte elle a une immuno tolérance, elle doit accepter que dans son ventre pousse un petit être dont la moitié des chromosomes lui sont étrangers. Elle est en immuno tolérance, si vous faites une greffe de rein par exemple à quelqu’un, vous allez lui donner des médicaments pour qu’il y ait une immuno tolérance, que cette greffe ne soit pas rejetée. Et vous allez, vous allez apporter des vaccins à ces gens-là? Ça veut dire: on fait taire le système immunitaire et en même temps on lui demande de bosser, on est chez les fous en fait, c’est plus de la science, c’est du scientisme, c’est de la croyance, c’est une espèce de doctrine vaccinale. On est sur de la superstition, on est vraiment dans un système qui s’appuie sur la superstition et plus sur la science.
Olivier Mageren: [00:47:53] Ou du commerce, ou que sais-je d’autre.
Dr Laurence Kayser: [00:47:54] Ça, ce sont les causes derrière.
Olivier Mageren: [00:47:56] Voilà, ce sont des bénéfices secondaires d’une intention première suspecte.
Dr Laurence Kayser: [00:48:00] Les médecins eux, on dit souvent: “Ils ont beaucoup été payés, etc”. Non, oui, il y a des médecins qui ont été payés en centre de vaccination, c’est vrai, mais la plupart des médecins, ce n’était pas nécessaire de les payer. On les a tellement formatés durant leurs études qu’on les a convaincus de base que tout ce qui s’appelle vaccin, eh bien, même si on leur dit on a mis un peu de cyanure, ça passera crème parce que on a mis l’étiquette de vaccin. Je parle de cyanure, mais l’ARN messager, ça peut-être un cyanure pour l’ADN hein?
Olivier Mageren: [00:48:26] Un peu comme un produit bio quoi. Il est pas naturel mais l’étiquette, tout de suite…
Dr Laurence Kayser: [00:48:30] Ah oui, oui, ça rassure les produits bio. Qu’est-ce qu’on a épandu dans le champ du voisin? Qu’est-ce qu’il y a dans les nappes phréatiques? Qu’est-ce qu’on balance dans l’atmosphère puisque maintenant on sait qu’on peut jouer avec les nuages hein? Donc il y a vraiment quelque chose là, il faut élargir le champ, c’est indispensable.
Olivier Mageren: [00:48:44] Tu en parlais au début, de solutions nouvelles qui existent, j’imagine que on pourrait parler de ça lors du deuxième podcast, pour parler de la santé sexuelle féminine, ça te convient?
Dr Laurence Kayser: [00:48:53] Oui, oui, tout à fait. Il y a des thérapies qui vont dans l’auto-guérison et que on peut proposer aux gens. En tout cas, il faut les encourager à chercher ça parce que, encore une fois, dans notre corps il y a plein de choses formidables pour aller mieux, voilà
Olivier Mageren: [00:49:08] On parle souvent d’empuissancement, empowerment, au niveau psychologique, moral, spirituel ou que sais-je, mais il existe fondamentalement aussi son pendant somatique, où le corps se…, on doit juste l’accompagner à s’exprimer à son plein potentiel, parce que c’est lui finalement qui se répare, qui se régénère et qui, en permanence, comme tu disais, avec le système immunitaire, en permanence prend soin. Il faut juste créer le contexte adéquat donc, quoi qu’il se soit passé, il y a aussi des solutions, il faut prendre le temps, mais voilà, il faut être responsable individuellement.
Dr Laurence Kayser: [00:49:36] Corps, âme, esprit.
Olivier Mageren: [00:49:38] Merci. Alors je te propose de passer au deuxième podcast à propos des femmes, comme ça on parlera de ces solutions dans le deuxième épisode. Et pour clôturer cette capsule à propos des hommes, est-ce que tu souhaites un mot de la fin, ou une transition particulière
Dr Laurence Kayser: [00:49:50] Alors simplement, j’aimerais dire aux hommes “Osez, osez être vous au delà de vos faiblesses, éventuelles, somatiques ou psychiques. Parce que chaque personne est unique et à sa place au monde. Et il ne faut pas hésiter à demander de l’aide parce qu’il y a des gens qui vous tendront toujours la main”.
Olivier Mageren: [00:50:05] Merci.
Dr Laurence Kayser: [00:50:06] Merci aussi.
Jingle Outro: [00:50:07] « Entr’Nous » (voix féminine Katalin) ; « Entr’Nous » (voix masculine Olivier), le podcast (Katalin) pour parler (voix masculine Michel) de sexualité (Olivier) par vous (Michel), avec vous (Olivier), pour vous (Katalin)»