Dr Kayser, fonctions sexuelles féminines #62

Dr Laurence Kayser

Dr Kayser – Traitements médicaux récents et fonctions sexuelles féminines #62

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Les podcasts offrent un espace propice à la réflexion, aussi bien personnelle que sociale.

Dans ce podcast courageux et sans tabou, nous abordons un sujet de santé d’une manière interrogative, afin d’aider chacun·e à mieux comprendre et agir en pleine conscience, avec discernement et responsabilité envers soi-même.

Notre objectif n’est pas de juger, victimiser, ni de chercher des coupables, mais d’encourager à une prise en main individuelle. Chaque personne doit être libre de prendre ses décisions, en tant qu’adulte souverain·e. Car, en fin de compte, nous ne pouvons agir que pour nous-mêmes, non pour les autres.

En tant que professionnels, nous constatons que certains éléments cruciaux sont négligés ou invisibilisés lorsque l’on divise les individus. Si l’on morcelle l’observation de la santé et des données, on risque de passer à côté de signaux sérieux, alarmants, voire graves.

Les femmes qui ne sont pas directement concernées par les traitements médicaux récents pourraient sous-estimer ou refuser de voir ce qui se passe réellement, alors que celles qui sont affectées dénoncent des impacts considérables. Mais de quoi parlons-nous exactement ? De santé individuelle et collective ? Il est temps d’ouvrir les yeux et le cœur sur la santé sexuelle des femmes.

Comprendre l’évolution de la santé globale nécessite que les professionnel·les, chacun·e apportant une vision partielle du puzzle, unissent leurs observations pour partager un regard critique.

Que constatons-nous dans la santé sexuelle des femmes aujourd’hui ?

Les statistiques relatives aux problématiques de santé sexuelle des femmes augmentent de manière inquiétante ces dernières années. 

Actuellement, la sincérité et le scrupule de certaines institutions sont remises en question à juste titre.  Douter est sain. C’est viser le meilleur avec justesse. Le terme scrupuleux est choisi soigneusement, car il désigne la rigueur morale et la conscience professionnelle. Être consciencieux. Qui respecte strictement les règles, les prescriptions… et les principes de précaution.

Pourtant, cette approche sincère et objective n’est pas toujours audible. Il serait important de confier à des expert·es indépendants·es l’analyse des données de manière méthodique, sans biais et sans conflit d’intérêt. 

Il est essentiel de prendre davantage de mesures (collecte de données), y compris des nouvelles mesures, et d’en augmenter l’analyse. Il convient d’étendre la vigilance, en évitant de la restreindre ou de la diviser en fragments. Les statistiques peuvent être manipulées très facilement, ce qui empêche une vision réelle de ce qui se passe. La société devrait en âme et conscience exiger une vigilance accrue.  

Saviez-vous que chaque citoyenne peut signaler à la pharmacovigilance ? Personne n’est entre vous et la pharmacovigilance. La pharmacovigilance est le/la citoyen.ne. Signaler des informations est un acte citoyen, un geste qui vous appartient. Un acte responsable et indispensable.

Cela permet non seulement de vous protéger, mais aussi de protéger les autres.

Ce sujet est d’autant plus crucial qu’il est souvent évité par de nombreuses praticiennes, qui hésitent à aborder les questions liées à la sexualité et à la sexologie dans leur pratique quotidienne. La sexualité et la zone génitale restent assez tabou. Et aborder des détails de celles-ci restent difficile pour certain.e.s professionnel.le.s. Alors, comment pouvons-nous espérer obtenir des données fiables sur l’impact des traitements modernes sur la sexualité des femmes si personne ne pose la question ? Chacune et chacun·e est responsable de sa propre route. Ainsi, elle prend soin d’elle-même et ipso facto des autres, car cela permet de ne pas faire deux fois les mêmes erreurs. Éclairer le chemin pour ne pas perpétuer des pratiques qui seraient inappropriées, à risques ou délétères.  On dit bien que le consentement médical doit être libre et éclairé. Libre signifie sans contrainte ni tension d’influence. Eclairé signifie mettre le spot des projecteurs sur toutes les informations disponibles favorables et défavorables, les conséquences possibles, les zones d’ombres. Si cela ne vient pas d’en haut, même si c’est contraire aux lois et conventions, cela reste néanmoins de la responsabilité individuelle de s’informer.  

Le propos de ce podcast est également d’éclairer les auditeur.e.s Eclairer au sens du principe de précaution médical, du consentement libre et éclairé. Rappel :

Textes internationaux

  1. Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme (UNESCO) :
    • Article 6 : Toute intervention médicale préventive, diagnostique ou thérapeutique nécessite un consentement préalable, libre et éclairé, basé sur des informations suffisantes. Ce consentement peut être retiré à tout moment sans préjudice pour la personne concernée. Les recherches scientifiques doivent également respecter ce principe 1.
  2. Déclaration d’Helsinki (Association Médicale Mondiale) :
    • Elle établit des principes éthiques pour la recherche médicale impliquant des êtres humains, exigeant que le consentement soit libre, éclairé et obtenu après une information compréhensible sur les objectifs, méthodes, risques et bénéfices de la recherche 6.

Textes nationaux

  1. France :
    • Code civil, article 16-3 : « Il ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l’intéressé doit être recueilli préalablement sauf en cas d’urgence où il n’est pas en mesure de consentir » 3.
    • Code de la santé publique, article L.1111-4 : Aucun acte médical ou traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé du patient 3.
  2. Québec (Canada) :
    • Code civil du Québec, article 10 : Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Aucun soin ne peut être donné sans un consentement libre et éclairé, sauf exceptions prévues par la loi 1.

  3. Belgique :
    • Loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient : Le patient a le droit de consentir librement à toute intervention moyennant une information préalable claire, complète et adaptée à sa situation 28.

Tous ces textes soulignent l’importance d’une information complète et compréhensible pour permettre aux personnes de prendre des décisions autonomes concernant leur santé. Nous avons pris notre responsabilité d’éclairer des zones peu visibles.
Nous vous souhaitons une belle écoute.

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Séquençage de l’épisode :

  • [00:00:20] Introduction, contexte et intentions
  • [00:00:55] Les intentions d’Olivier Mageren
  • [00:02:46] Observations significatives depuis ces dernières années
  • [00:06:50] Impossible d’ignorer l’ampleur
  • [00:10:21] Les observations pour les femmes
  • [00:12:35] Situation et solutions existantes
  • [00:19:57] Prendre soin de votre relation
  • [00:23:27] Un mot de fin en particulier ?
  • [00:23:43] Clôture de l’épisode

Transcription du podcast avec la Dr Kayser :

Si tu apprécies notre démarche de transcrire les podcasts : parle de ce podcast à ton entourage. Nous pouvons allouer des ressources aux transcription grâce aux donations reçues vers notre association, le lien pour faire un don : https://donate.kbs-frb.be/actions/FF-LoveHealthCenter

Jingle Intro: [00:00:00] « Entr’Nous » (voix féminine Katalin) ; « Entr’Nous » (voix masculine Olivier), le podcast (Katalin) pour parler (voix masculine Michel) de sexualité (Olivier) par vous (Michel), 00avec vous (Olivier), pour vous (Katalin)»

Olivier Mageren: [00:00:20] Bonjour, bienvenue dans le 62? épisode du podcast “Entr’Nous”, le podcast du “Love Health Center”, un centre basé à Bruxelles dont la vocation est d’aider tout un chacun dans son bien-être relationnel et sexuel. Alors dans ce 62? épisode, on va parler, c’est la suite du précédent, mais au lieu de parler des hommes, on va parler plus spécifiquement des femmes. Et donc le titre du podcast étant l’impact des thérapeutiques médicales récentes sur la sexualité féminine. Et au micro, à nouveau, la docteur Laurence Kayser.

Dr Laurence Kayser: [00:00:47] Bonjour Olivier, bonjour à tous, merci pour l’accueil et merci pour l’invitation à parler sans filtre, ça me convient parfaitement.

Olivier Mageren: [00:00:55] Comme l’épisode précédent, l’intention pour ma part est d’ouvrir un espace de paroles sur ce qu’on observe, sur des données récentes, médicales, qui ne sont pas encore vraiment relayées et diffusées, ou vulgarisées, ou présentées aux gens. Autant il y a eu des informations récentes sur les actions médicales, il fallait vraiment, il y avait une promotion très forte… Par contre sur ce qui se passe après, il n’y a pas eu autant de médiatisation bizarrement. Mon objectif est justement d’être honnête, et intègre et aligné avec mes valeurs d’amour, de soin et de considération, et d’empuissancement des gens. Et pour être dans sa puissance aussi, il faut oser parler, et s’informer, et partager de l’information. Parce que sinon on est seul chez soi et puis c’est bien dommage, la vie est beaucoup plus belle tous ensemble.

Dr Laurence Kayser: [00:01:37] Oui, tout à fait Olivier. Alors voilà, moi je me présente brièvement, mais je vous encourage aussi à écouter le podcast sur la thématique masculine, parce qu’on a dit beaucoup, beaucoup de choses qui se répercutent également sur les femmes. Ici je m’exprime en tant que médecin, gynécologue, chirurgien, obstétricien, écrivain, je m’exprime en mon nom propre, j’assume tous mes propos sans aucun filtre. Dans le but de pouvoir contrer une certaine forme de propagande, c’est le moins qu’on puisse dire, et certainement de censures, sur les répercussions des produits qu’on nous a décrits comme étant sûrs et efficaces en 2021, et qui malheureusement se révèlent être beaucoup plus nocifs que prévu. C’était risqué hein? Je craignais depuis le début que ça arrive, parce que quand on n’a aucun recul sur un produit qu’on injecte dans les gens et qu’on ne peut pas retirer après, eh bien c’était prévisible. Mais visiblement beaucoup de mes confrères ne l’ont pas vu de cette façon-là, et encore aujourd’hui, refusent d’admettre que, comme tout autre médicament, ces injections pouvaient et ont des effets délétères, et il faut en parler. J’apporte ici la parole pour mes patientes, et au-delà de ça, pour toute l’humanité.

Olivier Mageren: [00:02:46] Merci Laurence. Et pour moi, ça part de l’amour et de la joie de parler des choses telles qu’elles sont, sans tabou, voilà. Sans censurer, en étant objectif, voilà. Et parler des faits, je le rappelle un peu comme dans l’épisode précédent, j’étais venu te voir dans une conférence au mois de mai, et tu parlais déjà que l’impact sur la santé sexuelle féminine était déjà chamboulé. Est-ce que tu peux nous en dire plus et détailler? Qu’est-ce que tu observes de significatif depuis ces récentes années?

Dr Laurence Kayser: [00:03:09] Il y a la problématique individuelle. Les problèmes qui peuvent survenir sont similaires à ceux qu’on peut observer chez des femmes qui prennent un traitement hormonal complètement déséquilibré. On voit une explosion de cas d’ovaires polykystiques avec des cycles très longs, perturbés, un hirsutisme, une infertilité et souvent ça va de pair avec une intolérance glucidique. Parce que toutes nos hormones se parlent, donc le pancréas est aussi concerné par ça, il y a d’ailleurs des problèmes thyroïdiens mais qui peuvent se répercuter sur les cycles bien entendu, puisque la thyroïde c’est notre métronome, si le métronome est mal réglé, le corps va ou trop vite ou trop lentement. Il y a aussi de l’endométriose, de l’adénomyose en proportion vraiment surmultipliée, ce qui peut donner des règles très douloureuses, des douleurs aux rapports, ce qui déjà naturellement va impacter la fertilité, mais en plus, accessoirement, même si les rapports ne sont pas trop douloureux, l’endométriose et l’adénomyose en elle-même peuvent donner des problèmes de fertilité. Il y a des polypes, des cancers, des fibromes, des dames ménopausées qui retrouvent des règles, des tas de soucis mammaires, des tensions mammaires et le syndrome prémenstruel qui devient assez difficile à gérer. Et ce que je constate, je l’ai déjà dit par rapport aux messieurs, je constate la même chose sur les femmes, c’est le jeune âge. J’ai des petites jeunes filles de treize quatorze ans qui ont de l’endométriose, j’en avais pas avant. Et bien sûr on me parle de génétique, c’est pas génétique, pour moi c’est pas génétique, maintenant je suis clinicienne, je ne suis pas dans les labos. Mais ce que je constate, c’est que l’endométriose n’est pas médiée par la génétique mais bien par l’environnement, c’est une pathologie des pays industrialisés. Là on en avait déjà, mais le jeune âge, ça c’est tout à fait nouveau. La violence avec laquelle ça se développe, des femmes qui ont une échographie parfaite, six mois après elles sont pleines d’endométriose, il faut les opérer, je n’avais pas ça non plus. Et alors, la difficulté qu’on a parfois à les soigner parce que ça répond très mal aux thérapeutiques habituelles, et ça, c’est aussi tout à fait nouveau. Et puis, ben si vous prenez l’équivalent d’un traitement hormonal très déséquilibré, vous allez aussi avoir des problèmes de flore, et c’est pas très, très, bon pour la sexualité non plus. Alors qu’est-ce que je peux dire de plus? C’est que quand je fais une prise de sang, je ne vois rien de particulier parfois, j’ai l’impression que leur corps se comporte comme s’il était soumis à des œstrogènes en grande quantité, mais ça n’est pas décelable dans une prise de sang. Et pour moi, jusqu’à preuve du contraire éventuellement, pour moi, c’est au niveau des récepteurs cellulaires que ça se passe. Il y a quelque chose dans ces injections expérimentales de 2021 qui va bloquer les récepteurs Œstrogénique en position “ON”, c’est comme un interrupteur hein? Et il s’emballe, et je ne sais pas ce que c’est, puisque je vous rappelle qu’on n’a pas le droit, encore aujourd’hui en 2025, d’avoir la composition des injections. On n’a donc pas de notice, on n’a pas les interactions. Un médecin normalement, normalement, nous on a des cours de pharmacologie et c’est pas le cours le plus marrant du monde, où on apprend molécule par molécule à quoi elle sert? Quelles sont ses interactions avec d’autres molécules? Quels sont ses effets potentiellement négatifs? Et quelles sont ses contre-indications? Et ici, concernant les injections anti-chaos vide – Excusez-moi pour le jeu de mots, mais on n’a pas le choix – Il y a même des organes féminins qui font sauter les podcasts, ça je vous le dis aussi ça m’est arrivé. Donc on ne peut pas parler de l’intime féminin sans risquer d’être striké comme on dit maintenant. On a toujours pas, en 2025, de notices complètes pour ces produits. Les médecins qui ont fait la promotion, et qui ont injecté ces produits, ne savaient pas et ne savent toujours pas ce qu’ils font. Et quand vous allez chez un médecin qui ne sait pas ce qu’il fait, et bien il faut vous poser les bonnes questions, et peut être tourner les talons…

Olivier Mageren: [00:06:50] Oui, c’est assez étonnant. Je fais une comparaison qui n’a pas lieu d’être mais qui est un peu cocasse par simplification, mais si on mettait un mélange inconnu de molécules dans un avion et que les turbines ne fonctionnent pas bien, et qu’on ne peut pas savoir la composition du fuel qu’on a mis dedans, alors qu’ici on parle d’une complexité d’un corps humain, de fait de milliards de cellules, une quantité incroyable comme tu dis. Quand on parle du système endocrinien et la symphonie hormonale cyclique d’une femme, c’est vraiment hyper délicat. On y met quelque chose et on ne peut pas savoir ce que c’est. C’est complètement scandaleux parce que comment essayer de traiter, d’accompagner les gens, si on ne sait déjà même pas reliée à une quelconque, il manque un maillon, on ne sait pas ce qu’on a fait, mais on peut voir des symptômes. Et comment les traiter sans vraiment avoir plus d’informations sur la cause, c’est vraiment dégueulasse. Et puis, aussi, de ce que je me souviens de la conférence que tu avais donnée au mois de mai, c’est que pour un médicament, normalement, s’il y a quelques % d’effets dramatiques, il n’est pas validé. Et ici on est à 200, 300, 400 % de problèmes, c’est à dire qu’on fait: fois deux, fois trois, fois quatre, fois cinq, sur des problématiques. Au niveau mathématique, si on voit les courbes il y a vraiment des sauts énormes, ce sont des pics, il n’y a pas d’évolution progressive, il y a vraiment un effet démultiplicateur. Alors qu’en temps normal, si déjà il y a peut-être 20 % de problèmes graves, c’est déjà.

Dr Laurence Kayser: [00:08:09] C’est énorme, 20 %!

Olivier Mageren: [00:08:10] Mais oui, ça serait énorme! Non mais je donne en tant qu’ingénieur, 120 % comparé à 500, on se dit… Mais déjà 20, ça serait inacceptable pour d’autres médicaments ou d’autres traitements, ou que sais-je.

Dr Laurence Kayser: [00:08:20] On a retiré des pizzas du commerce pour deux décès. Et bien sûr que chaque décès est un drame, et c’est toujours une mort de trop. Mais ici, on a dégradé la santé physique et mentale de la population pour une maladie qui a eu le même impact que la grippe de 2015, et encore, si on avait soigné les personnes vulnérables et les personnes âgées, comme tout bon médecin aurait dû le faire selon son âme et conscience et selon son serment d’Hippocrate, on en aurait même pas été aux chiffres de la grippe de 2015. On a terrorisé la population via les médias qui appartiennent, ben regardez à qui ils appartiennent, ça, c’est pas compliqué. On a des gouvernements qui se sont comportés comme des terroristes, des tyrans. On nous a imposé des produits pour lesquels on n’avait aucun recul, y compris à des femmes enceintes et des enfants, des gens qui n’étaient même pas concernés. Alors mes collègues vont lever les bras au ciel en disant que les femmes enceintes étaient vulnérables et qu’il fallait, oui, il ne fallait pas les injecter, il fallait les soigner en fait. Et c’est ce que j’ai fait moi d’ailleurs. Et pour la petite info, ça se soigne très bien, ce virus de 2020. Même si on peut être malade, même quand on est jeune, on peut avoir une pneumonie. Mais avant 2020, on soignait les pneumonies, les pharyngites, les sinusites sans avoir besoin de connaître le nom du virus. Et depuis 2020, il faut faire des tests qui n’ont pas été développés pour être utilisés en population générale, mais bien… Les tests PCR, leur vocation, c’est la recherche hein? C’est pas du tout de voir si Pierre-Paul-Jacques a un petit fragment d’un virus qui ressemble éventuellement à ce qu’on a appelé Chaos vide. Et ça n’est en aucun cas pour vous dire si vous êtes malade ou pas. On a utilisé des tests qui, en dépit du bon sens, des masques qui ne marchaient pas sur les virus, avec des gens qui ne savent pas s’en servir. On leur a laissé croire que ça les protégeait alors qu’un masque ne protège que l’autre, et en particulier, ça s’utilise en salle d’opération pour éviter de contaminer la plaie par éventuellement des postillons, et pour éviter que le chirurgien ne se ramasse, dans la bouche, un jet de sang. Parce que oui, ça arrive, je vous rappelle que j’ai beaucoup opéré, je sais de quoi je parle. Et imposer des mesures, des couvre-feux, des assis, debout, couché, des plages dynamiques qui n’avaient rien, mais absolument rien de sanitaire.

Olivier Mageren: [00:10:21] C’est scandaleux et absurde. Beaucoup de scientifiques ont dû se dire “Mais ça ne tient pas la route”. Mais il y a vraiment un rouleau compresseur politique et médiatique, une omerta et une censure colossale. Tu listes déjà une série importante de problèmes qui sont en augmentation, mais aussi simplement un des premiers facteurs j’imagine qu’on observe, c’est l’impact sur le cycle menstruel, des anomalies, j’imagine que ça, c’est quasiment le premier signe qu’on peut observer, j’imagine. Avant même de voir comment les organes internes ont évolué quoi!

Dr Laurence Kayser: [00:10:47] Oui, oui. En dehors du fait qu’il y a plus de fausse couche, de fausse couche tardive, de malformations fœtales, de prééclampsie, de décollement du placenta, de prématurité. Et ça ne va pas s’arranger parce que six vaccins dans une femme enceinte, c’est juste du délire, du délire que je qualifierais de pseudo sanitaire, de l’hygiénisme à outrance. Comme si on n’était pas équipé pour vivre dans un monde avec des virus, et on va finir en tenue de cosmonaute. Au-delà de toutes ces pathologies de la fertilité, une femme qui a des cycles réguliers et qui tout à coup se retrouve en aménorrhée, en absence de règles, ben elle va s’en rendre compte. Et on a des ménopause précoce hein? Parce que ça je ne l’ai pas encore dit, mais il y a des femmes qui ont été ménopausée directement après leurs injections anti-choas vide, parfois à 25, 27 ans, la plus jeune je pense qu’elle a treize ans. Il faut écouter les témoignages du collectif “Où est mon cycle” qui regroupe maintenant toute la francophonie? Il n’y a pas que la France hein! Ça a un impact aussi, si vous êtes en plein développement de votre corps, à treize, quatorze ans, et que vous êtes brutalement ménopausée, non seulement ça va être très difficile à vivre par les symptômes que ça engendre. Mais le corps, le corps ne va pas évoluer, vous n’aurez pas de seins, vous n’aurez pas de croissance de l’utérus, vous n’aurez pas des ovaires fonctionnels, vous n’aurez pas, je vais risquer le mot parce qu’il y a un podcast qui n’est pas passé, mais “le vagin”. C’est, c’est pas de bon ton de parler de ça, mais ça existe quand même! Si vous avez un vagin de petite fille, vous faites comment pour avoir une vie sexuelle derrière? C’est gravissime en fait, c’est pas seulement empêcher les gens de se reproduire, c’est empêcher les gens de vivre leur sexualité pleinement. C’est vraiment extrêmement grave. Alors peut être qu’on peut me rétorquer que c’est rare, oui mais, on a retiré tous les produits, les chocolats Kinder là pour moins que ça hein? Ou des pizzas. Il y a quand même un deux poids, deux mesures qui ne s’explique pas par une pseudo bienveillance du gouvernement.

Olivier Mageren: [00:12:35] Oui, moi je me demande encore, quelle confiance chacun décide encore d’accorder au système. Parce qu’ils ont permis tout ça, qu’ils étouffent aussi l’information de passer, on ne va pas quand même nous dire qu’on a le devoir constitutionnel de faire confiance. La confiance n’est pas un devoir, mais on aura presque l’impression que ça sera le discours. Que si on ose dire que la confiance, ça s’acquiert par des faits, des actes forts, des actes honnêtes et responsables. Et quelle confiance et quel degré de confiance on va encore avoir en nos institutions. Moi je trouve que c’est même criminel d’avoir fait ça, puisqu’en fait, la confiance du citoyen vers, même le corps médical dont plein de personnes sont honnêtes et droites, mais d’autres se sont fait flouer, je veux dire, ça a brouillé toutes les pistes. Et de se dire si le système nous a mis dans une telle situation, moi je trouve que d’avoir impacté autant les… On a parlé des hommes juste avant mais, quand on voit tous les problèmes qui apparaissent chez les femmes, dans une proportion significative de la population, on a créé de la peine pour tous ces gens. Enfin je veux dire “on” (Dr. Laurence Kayser: Le système) je dis : ce qui s’est passé a créé une somme de difficultés importantes, alors certaines personnes vont minimiser mais, oui, quand on n’est pas impacté, et qu’on le subit pas, par chance, parce qu’on n’est pas rentré dans le système ou bien qu’on n’a pas eu d’effets secondaires, tant mieux, heureusement. Et on ne voit peut-être rien à l’heure actuelle, mais pour tous ceux qui en subissent vraiment le prix fort aujourd’hui, c’est quand même un scandale quoi!

Dr Laurence Kayser: [00:13:46] Mais on saura dans 30 ans. Parce que si vous avez vacciné une femme enceinte, son bébé qui a été soumis à l’influence de ces produits, il faut qu’il grandisse, il faut qu’il ait envie de se reproduire et que, à la génération d’après, on voit si tout va bien. Il y a sûrement des effets qu’on ne voit pas pour le moment et qui vont apparaître plus tard. Et plus le temps passe et moins les gens vont faire le lien. Je crois que, ici, nous sommes face à une population qui a été extrêmement infantilisée et qui aujourd’hui n’a pas la maturité suffisante pour dire “Papa, État dont je dépends et malveillant”. Or, au service de qui sont nos gouvernements finalement? Ils sont au service des banquiers, et ils sont à genoux par rapport à ça. Alors ils prennent leur petite commission au passage mais, il faut bien se rendre compte que nos pays, nos États sont tellement endettés qu’on a surendetté la planète entière au détriment des populations et pour le plus grand bénéfice de quelques multinationales. Je vous rappelle quand même que les banquiers sont aussi actionnaires des firmes pharmaceutiques, mais des fabricants d’armes. Il ne faut pas nous raconter que ces gens sont extrêmement bienveillants, non, ils font du business et business is business. Quoiqu’il en coûte a dit Macron, il faut se poser vraiment les bonnes questions. Aujourd’hui, on voit, par exemple, on nous vend que la téléphonie doit être de plus en plus rapide, Internet, etc. C’est formidable, il faut que ce soit de plus en plus rapide donc on nous installe des antennes, mais c’est comme les vaccins en fait, ça s’accumule. Moi je croyais naïvement que la 5G allait remplacer la quatre, la trois! Non, non, c’est un plus deux, plus trois, plus quatre, plus cinq, et bientôt plus six. Et le brevet de la 6G, c’est l’Internet des corps. On voit bien qu’on est embarqué vers un transhumanisme délirant, dont on ne prend absolument pas la mesure, parce que qui nous dit qu’une puce “Ok, ça va peut-être… Une puce dans le cerveau va peut-être donner la possibilité à un paralytique de marcher. D’accord”. Mais est-ce que, puisque nous sommes des appareils électriques, il ne faut pas l’oublier, nous émettons des infrarouges, nous émettons des électrons, nous sommes impactés par tout ce qui est électrique dans notre environnement. Le cerveau fonctionne à l’électricité, les médecins le savent puisqu’ils font des électroencéphalogramme et des électromyographie. Quand on voit ça, qui nous dit qu’une puce dans le cerveau ne va pas aussi déclencher des paresthésies, c’est à dire des sensations douloureuses dans les membres? Des maux de tête, des hallucinations, on en sait rien en fait. On nous vend ça comme étant la super solution, on ne sait pas ce que ça va donner, et on accumule les ondes comme on accumule les vaccins dans les corps sans réfléchir. Et aujourd’hui, il y a des produits comme le graphène qui est un contaminant de l’environnement qu’on nous vend comme étant une petite chose banale, mais qui a des propriétés électromagnétiques. Ici, chaque fois que vous allez chez le dentiste vous faire une injection pour vous vous endormir une dent, on vous balance du graphène, ben qu’est ce qui dit que ça ne va pas vous rendre électro-hypersensibles et que vous n’allez pas du tout supporter de vivre en ville par exemple? On n’en sait rien. On est là dans un monde où les gens dont nous dépendons ne se préoccupent plus du tout de notre bien-être, mais sont au service des gens qui veulent nous exploiter. La population s’appauvrit de plus en plus, elle travaille donc de plus en plus, elle a donc de moins en moins le temps de penser et de s’informer. Et on nous offre en compensation des séries débiles, des jeux vidéos, un accès aux drogues. Les premières drogues légales sont les antidépresseurs prescrits par les médecins qui ont oublié au service de qui ils étaient. Il est vraiment très, très, important qu’on puisse se réapproprier sa santé et c’est donc la raison pour laquelle je voudrais dire un bref petit mot sur une thérapeutique qui s’appelle le plasma riche en plaquettes “PRP”, qui est utile autant pour les hommes que pour les femmes. Alors encore une fois, ça n’est pas de la magie, une solution peut fonctionner sur certaines personnes et pas sur d’autres, et ça va aussi dépendre de tout le reste. Notre mode de vie, la façon dont on prend soin de soi, notre relation à l’autre et à nous même. Mais en quoi ça consiste le plasma riche en plaquettes, qui est une piste vraiment à suivre? On fait une prise de sang au patient, on centrifuge ce sang, ce qui permet de séparer la partie globules rouges dont on n’a pas besoin de la partie liquide du sang qui s’appelle le plasma, qui a une couleur dorée magnifique. Et plus vous avez une vie saine, que vous êtes équilibré au niveau de l’alimentation, du stress et des vitamines, et plus votre plasma il sera beau entre guillemets, et riche en plaquettes, et en globules blancs. Et aussi, surtout, en facteur de régulation de croissance tissulaire. Et on prend cette partie liquide et on va la réinjecter là où il y a un problème. Ça peut être dans une cicatrice qui n’évolue pas bien, ça peut être dans une vessie qui travaille mal, qui a des fuites, ou qui est fragile aux infections. Ça peut être dans le pénis chez un homme qui a des troubles de l’érection, ça peut être au niveau du périnée, de la femme ou de l’homme, s’il y a des douleurs, ça peut être ailleurs aussi. On l’utilise également, et ça c’est pas du tout ma partie mais, on l’utilise également pour la repousse des cheveux, de la barbe pour l’esthétique, pour les rides, etc. Parce que notre corps, il est équipé de tout ça. Et le fait d’aller le rechercher et de le concentrer par centrifugation, et bien c’est vraiment de l’or, c’est pas pour rien que c’est doré, c’est de l’or qu’on remet là où ça ne va pas, et qui évidemment va améliorer, ça va toujours améliorer, peut-être pas suffisamment, mais ça va toujours améliorer, dans une espèce de technique de rajeunissement, mais ça ne va pas permettre de traiter les traumas psychologiques. C’est ce que je dis toujours, j’ai aussi la possibilité de faire l’injection d’acide hyaluronique qui est un hydratant, pour créer un petit coussinet si on a des rapports douloureux, par exemple, pour les femmes. Ou alors le laser Monalisa qui est une autre technique, tout ça ce sont des techniques de rajeunissement, mais rien, rien ne vaut aussi de travailler sur sa relation à soi. Est-ce que j’ai le droit de me donner du plaisir? Est-ce que je peux lâcher prise au moment du plaisir, que ce soit un plaisir solitaire ou à deux, ou à plus? Chacun s’éclate comme il veut, je m’en fous, entre adultes consentants, pour moi tout est ok. Et travailler aussi, se réapproprier sa sexualité individuelle, et de couple, ça passe par le dialogue, c’est indispensable. Et c’est pour ça qu’il est précieux aussi qu’il y ait des podcasts et des sexologues pour accompagner. Moi je pense que même, ça dépasse le cadre de la sexologie, c’est vraiment la psychologie, c’est comment je fais pour m’aimer moi suffisamment, pour me permettre de prendre soin de moi, de m’amener au plaisir et sans devoir passer par des produits chimiques comme les antidépresseurs qui cachent finalement les problèmes mais qui ne solutionne rien. Et je ne dis pas qu’il ne faut pas, parfois il faut en prendre, mais il ne faut pas en prendre pendant 20 ans. Il faut en prendre le temps de pouvoir poser les choses pour pouvoir les travailler. Travailler les traumas, c’est indispensable.

Olivier Mageren: [00:19:57] Oui, merci Laurence, et ça me rappelle vraiment ces intentions premières de pourquoi j’avais envie de faire ce podcast avec toi. C’est qu’effectivement, derrière des difficultés somatiques, viennent se greffer tout un univers psychologique lié à au passé, au présent et au contexte de la personne. On parle d’épigénétique en biologie, mais on parle d’épigénétique aussi, je pense, au relationnel, qu’est-ce qui se passe dans nos vies. Et que ça serait dommage de laisser les couples un peu au dépourvu et de créer, finalement, que cette difficulté de thérapeutique médicale de 2020,?2021 vienne créer des conflits de couple, finalement. Les familles et les enfants, quand ils sont concernés, sont pénalisés, ça crée des difficultés de dialogue. Déjà, parler de sexualité, c’est délicat, mais on sait que ça impacte la sexualité. Tout ce qui a été fait impacte la fonction génitales masculines et féminines, qu’elles soient liées au plaisir, au fonctionnement normal d’une sexualité de bien-être, qu’une sexualité reproductive. On voit que la fertilité a un grave problème, et que finalement on va devoir faire avec. Et si on peut aller au-delà du tabou, de se dire ok, ça c’est du passé, mais prenons soin psychologiquement de nous. Si on peut améliorer les communications, les relations, par cette impulsion finalement, parce que ça vient un peu créer une impulsion, une perturbation. Et moi je préférerais dire que “Soyez vigilant. Votre corps a été impacté possiblement par des traitements médicaux récents”. Il y a des solutions techniques comme tu proposes. Il y a des choses qui sont belles et il y a des nouvelles techniques qui sont puissantes. Et en même temps, il faudra prendre soin de soi et de sa communication. Ça aura au moins un effet sur le côté non somatique pour prendre soin de votre relation.

Dr Laurence Kayser: [00:21:25] La première chose effectivement à faire, c’est de se placer en adulte bienveillant par rapport à soi-même, et par rapport à l’autre. Sortir des conflits qu’on nous a artificiellement créés: antivax Provax, pro-vax, noirs, blancs, hétéros, homos, tout ça c’est complètement artificiel. C’est pouvoir restaurer le dialogue, et travailler en adulte aussi sur sa santé physique et mentale. Il y a beaucoup de solutions somatiques, au moins, qui sont explorées, je ne dis pas que ça va fonctionner, mais au moins qui sont explorées. Renseignez-vous sur des thérapeutiques comme la vitamine C en intraveineux, l’ozone, le bleu de méthylène, le dioxyde de chlore qui sont toutes des, l’argent colloïdal, toutes des pistes qui nécessitent qu’on se comporte comme un être responsable et qu’on puisse aussi communiquer aux autres les solutions, les pistes de solutions qu’on a trouvées. Et proposer que eux, ils essayent, alors il ne faut pas faire n’importe quoi, n’importe comment, il y a des thérapeutes qui accompagnent et qui encadrent tout ça, bien sûr. Je vais très prochainement refaire une visite en Flandre dans une clinique qui travaille les plasmas riches en plaquettes sur la fertilité, je vais voir un petit peu ce qu’ils en font de ce côté-là, mais la première chose c’est de se positionner correctement. Nous ne sommes pas des petits enfants, à nous disputer dans la cour de récréation et nous n’avons pas besoin d’un papa ou d’une maman pour nous accompagner, nous sommes adultes, nous sommes donc responsables de nous-même. Nous sommes responsables de protéger les personnes les plus vulnérables, en tant que citoyens, ça c’est indispensable. Même si on n’a pas d’enfants, nous sommes responsables de ceux des autres, des enfants de notre société, de notre clan. Et de protéger les plus vulnérables, non pas en les exposant à des produits expérimentaux qui rapportent des milliards d’euros à des lobbys pharmaceutiques sans scrupules, mais bien en leur permettant d’avoir tout ce dont ils ont besoin, y compris la joie de vivre, le bonheur d’être ensemble, un bon repas, une balade en forêt, le rire, l’amour. C’est vraiment indispensable.

Olivier Mageren: [00:23:16] Oui. L’hygiène de vie.

Dr Laurence Kayser: [00:23:18] Ben oui, mais la bonne. Pas celle qui est nombriliste, mais celle qui est dans le partage. Parce que nous sommes quand même des êtres sociaux et il faut sortir de la peur. C’est indispensable ça, vraiment!

Olivier Mageren: [00:23:27] Tout à fait. Merci beaucoup, ce podcast est passé très, très, vite. Je ne sais pas si tu souhaites un mot de fin en particulier?

Dr Laurence Kayser: [00:23:33] Mais je souhaite longue vie à votre association, parce que ces petites prises de parole là, elles sont précieuses pour tout le monde. C’est un acte citoyen, je pense.

Olivier Mageren: [00:23:43] Merci. J’en ai, j’en ai des frissons mais moi je me sens honorée par ta présence, et d’oser en parler, parce que ça ne doit pas être un tabou non plus. Si on fait une lasagne d’ondes électromagnétiques, ça ne va pas de la première à la 6G. Mais si on fait une lasagne de tabous et de censure, et de ne pas oser parler, alors finalement on perd…. La société ne va pas aller bien quoi, et ça va se voir.

Dr Laurence Kayser: [00:24:02] Il faut parler de tout, c’est clair, Il faut parler de tout. On n’a pas forcément raison sur tout, mais c’est bien de se poser des questions, c’est important. C’est comme ça qu’on grandit.

Olivier Mageren: [00:24:11] Merci beaucoup Laurence.

Dr Laurence Kayser: [00:24:12] Merci Olivier.

Jingle Outro: [00:24:32] « Entr’Nous » (voix féminine Katalin) ; « Entr’Nous » (voix masculine Olivier), le podcast (Katalin) pour parler (voix masculine Michel) de sexualité (Olivier) par vous (Michel), avec vous (Olivier), pour vous (Katalin)»

Le podcast avec la Dr Kayser :

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